Adulte pourquoi je ne rêve que de mon adolescence?
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Par exemple, on sait aujourd’hui qu’en sommeil paradoxal le dormeur est imperméable à 75% des stimuli extérieurs : ne percevant plus l’information sensorielle liée à la pesanteur, le cerveau imaginerait des scénarios pour expliquer cette absence. Son corps est également réellement paralysé. D’où les rêves où courir, fuir est impossible : nos pieds restent collés au sol. Ce type de rêve ne se déroule jamais en sommeil lent. »
Le point de vue de la psychanalyste : « Si l’on s’en tient à la seule explication physiologique, comment expliquer qu’on ne fasse pas ce type de rêve fréquemment et quel que ce soit notre âge, s’interroge Valérie Blanco.
Or on observe, par exemple, que le rêve de nudité intervient avec l’apparition de la pudeur, vers 5-6 ans et que c’est jusqu’à 9-10 ans, pendant la période dite de « latence », que les enfants font le plus souvent ce cauchemar (arriver sans vêtements à l’école), ce qui est moins le cas à l’adolescence et à l’âge adulte.
Les rêves ne peuvent se réduire à un dictionnaire des symboles, pour la simple raison que chaque « scénario » se trame à partir de ce que vit la personne et prend racine dans son histoire, ses peurs, ses désirs.
Le surlendemain, une baisse notable de vigilance amoindrira son rendement scolaire et il s’endormira probablement pendant les cours, la tête appuyée sur ses bras ou ses mains. L’adolescence étant une période de changements majeurs en ce qui concerne les aspects physique, affectif et social, le risque de souffrir d’insomnie y est particulièrement élevé.
En effet , une étude publiée par l’ Association Sommeil et Santé* établit que 13% des garçons et 17% des filles se plaignent de mal dormir. Voici quelques-unes des mauvaises habitudes en causes : – Pratiquer un sport de compétition immédiatement avant d’aller dormir (tennis, football, etc). Le taux d’adrénaline contenu dans le sang au moment du coucher nuit à l’endormissement et à la qualité du sommeil.
– Se préparer une super collation immédiatement avant le coucher. Le diaphragme sera tellement comprimé et la digestion si laborieuse qu’il sera très difficile de trouver le sommeil. – Se coucher en ressassant tous les problèmes de la journée, à la recherche de solutions potentielles.
– Modifier fréquemment les conditions encourant le sommeil (changer de chambre, de lit, d’éclairage, dormir avec ou sans oreiller, avoir un horaire irrégulier de lever et de coucher, etc.). Pour tenir le coup et trouver un regain d’énergie, beaucoup d’adolescents auront alors recours aux boissons énergisantes, au café et au tabac.
Toutefois, la prise de drogues* chez les adolescents est une problématique beaucoup plus complexe que celle qui est abordé ici. Il vous est possible d’évaluer objectivement la fatigue de votre adolescent.
L’influence de l’entourage et des expériences L’adolescence peut être, pour la plupart des jeunes, une période de remises en question et de recherche identitaire. Par exemple, des valeurs qui leur ont été transmises, de la légitimité ou non des figures variées d’autorité ainsi que leurs propres caractéristiques. Il s’agit d’une période où ils se projettent dans l’avenir.
En effet, d’une expérience à l’autre, l’adolescent vivra des moments qui lui feront ressentir de la confiance et de la peur, des réussites et des échecs, des encouragements et des jugements, et ce, tout comme son parent avant lui. Ainsi, pour l’adulte, il peut être tentant de protéger son jeune, mais cela l’empêche de tirer ses conclusions et d’apprendre de ses expériences.
C’est pourquoi cette suggestion vous est proposée : Quelles sont les attitudes favorables à adopter?