Andrée chédid ce sont les rêves qui poussent en avant?
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Dans « Le Message », Andrée Chedid nous transporte dans un récit captivant qui se déroule dans un contexte historique complexe. L’histoire se déroule dans un pays en proie à une révolte. Le roman suit le parcours de personnages variés qui vivent des moments d’épreuve et de résilience face aux bouleversements sociaux et politiques.
Au-delà de l’intrigue, Andrée Chedid explore des thèmes universels tels que : La recherche de sens dans l’existence Son écriture poétique et engagée donne vie aux personnages et met en lumière les enjeux sociétaux de son époque. « Le Message » est une œuvre qui nous invite à réfléchir sur notre rapport au monde et à la liberté.
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Elle est blessée par une balle et souffre atrocement.
En effet, dans ce roman paru en 1968, rien n’est susceptible de réunir les deux personnages principaux, qui sont étrangers l’un à l’autre dans tous les sens du terme.
Une telle mise en rapport des altérités est possible parce que, selon Chedid, il y a chez l’humain, par-delà les distances culturelles et personnelles, un « visage premier », modelé par les « épreuves du vivant[6] », qui fonde tous les autres et qu’il s’agit de retrouver ou de remodeler par l’écriture.
Que ce visage revête souvent les traits d’une femme ou d’un enfant, cela n’est pas indifférent, puisque le statut marginal de ces êtres leur confère à la fois une vulnérabilité et une force tranquille qui, paradoxalement, fait de ces absents du discours de l’histoire — et de l’histoire des discours — les agents du changement et de la conciliation.
On pense immédiatement à Ammal et Myriam dans la tourmente de la guerre civile que met en scène La maison sans racines (1985). Il est d’ailleurs intéressant de constater que ce sont justement des figures de femme et d’enfant qui accueillent en elles-mêmes les altérités, affichant de ce fait une identité hybride[7]. C’est le cas de la jeune Sybil, Libanaise d’origine mais Américaine d’adoption, dans La maison sans racines.
« Le cristal de la langue française m’oblige à la rigueur », confiera la poétesse à Télérama, le 13 octobre 2000. Goncourt de la poésie Le français, c’est aussi la France, et Paris, où Andrée Chedid et son époux rêvent de s’installer. Ce qu’ils font en 1946, une fois la guerre terminée.
Grâce à leurs moyens confortables – issus de la réussite économique de leurs parents et grands-parents – et désormais accompagnés de leur fille aînée, Michèle, née le 13 avril 1945 à Beyrouth, les Chedid posent d’abord leurs valises pendant un mois au Lutetia, l’un des rares hôtels de la capitale à avoir l’eau chaude.
Puis la famille transite quelque temps par le 167, rue de Vaugirard (15e) avant de trouver son bonheur immobilier au hameau Boileau, une villa privée du 16e arrondissement. C’est ici que Louis Chedid, né le 31 décembre 1947, vit ses premières années. Il vous reste 75% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.