Carla bruni-sarkozy où sont passés nos rêves titres?
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Le 6 octobre, l’ex-First Lady publiera son cinquième album, « French Touch », un disque de onze reprises surprenantes. Elle lève le voile en exclusivité pour nous sur cette nouvelle page de sa vie musicale. La dernière fois que Carla Bruni avait fait parler d’elle en chansons, c’était en 2013. Une éternité !
Elle avait quitté l’Elysée un an plus tôt, son époux était retiré de la vie politique et elle pouvait enfin retrouver sereinement le chemin des studios et de la scène. Seul hic, sa somptueuse tournée se transforma en manifestation pro-Sarkozy, la présence de l’ancien président à chacun de ses concerts déclenchant des crises d’hystérie de fans enamourés.
Solitaire, elle prend toujours un plaisir immense à fabriquer des chansons. Pourtant, c’est par le biais de reprises qu’elle reviendra en octobre. Une cigarette Vogue à la main, Carla se raconte. Sans trembler. A lire aussi : Carla Bruni souhaite un bon anniversaire à sa mère La suite après cette publicité Paris Match. Dans quel état d’esprit étiez-vous après l’album et la tournée “Little French Songs” ?
Carl a Bruni. J’ai été très contente de l’accueil, finalement assez miraculeux. Je sortais de cinq ans d’Elysée, mon image était trouble, différente de celle d’une simple chanteuse. J’avais peur que les salles soient vides, que personne ne s’intéresse au disque. Au contraire, l’album a bien voyagé, j’en ai vendu 200 000 exemplaires, dont 100 000 en France.
Crédits photo : Pochette du single Doucement mais sûrement, Carla Bruni reprend la promotion de son sixième album éponyme. Sorti en octobre dernier, le disque a donc permis à l’ancienne Première Dame de dévoiler ses premières chansons originales depuis 2013.
« C’est un album qui est très proche de moi et puis je n’ai pas trouvé de titre aussi » s’amuse sur RTL la chanteuse qui, pour cette nouvelle collection de titres, s’est entourée de grands noms comme Julien Clerc, Calogero, Albin de la Simone, Michel Amsellem ou encore la harpiste Gustine révélée dans « The Voice » pour évoquer à la fois l’amour et la mort, comme elle l’affirme à L’Obs : « [Ce] sont les deux grandes affaires de nos vies.
Le reste ne vaut rien : la gloire ne vaut rien, la propriété ne vaut rien, le succès ne vaut rien (…) Les deux seuls éléments qui séquilibrent, les deux seules certitudes, sont Eros et Thanatos. Ils peuvent se combattre.
Sur le moment, on a peut-être l’impression que le traître l’emporte, mais sur le long terme je ne le pense pas. Sans être une pratiquante de la première heure, je crois dans le bien et le mal.
La vie rééquilibre les choses.>>> A découvrir: les hauts et les bas de Carla Bruni en imagesLorsque vous racontez votre rencontre avec Nicolas Sarkozy, vous parlez d’un coup de foudre, le premier de votre vie…J’ai écrit une chanson pour le dernier album de Julien Clerc qui s’appelle Les Amoureux.
Alors c’est romantique, bien sûr, mais le refrain reflète assez ce que nous sommes: « D’où viennent les amoureux, les enlacés, les bienheureux, ceux qui connaissent une autre main, comme deux poussières d’un même chemin… » C’est une histoire de chance aussi.
C’est normal. Les gens ne nous connaissent pas et la façon dont nous avons été médiatisés faussait tout.Qu’est-ce qui vous séduit toujours chez votre mari?En vérité, je n’ai pas l’impression que le temps a passé. Il faut dire que le temps passe si vite, il est notre maître à tous. J’ai vraiment le sentiment d’être faite pour être avec mon mari. Nous nous sentons bien ensemble.
En dehors du désir, de l’amour, de l’admiration, de la rigolade, il existe une communication constante entre nous. Mon Dieu! J’espère que nous ne nous séparerons jamais, et que je mourrai avant lui. Ou avec lui.
Pour la femme de l’ex-président «les diseurs caquettent ou croassent, gloglotent, jacassent dans leurs poulaillers». La chanteuse va plus loin dans ses textes: «Les diseurs parlent comme on crache, ils rient comme on grimace mais pendant qu’ils aboient la caravane passe». Basse vengeance de la part de la chanteuse qui, durant la campagne présidentielle en 2012, avait soutenu «à 100%» Nicolas Sarkozy?
Dans une interview donnée au Point en avril dernier, elle avait déclaré: «Je sais que la volonté des médias est de faire élire l’autre candidat (François Hollande, NDLR), mais je pense qu’on va quand même gagner et ça démontrera combien vous êtes déconnectés des Français».
Dans Les Diseurs, elle envoie un soutien ironique aux journalistes: «Il faut dire que c’est pas drôle, non, d’faire diseurs, ce n’est pas le beau rôle, non. Toutes ces heures passées à causer pour finir oubliés.» VSD évoque également trois autres titres de l’album. Dans le premier d’entre eux, la chanteuse revient sur sa consommation de tabac.
Elle avait sorti un disque de reprises en 2017, mais pas de compositions originales depuis ses « Little French Songs », il y a sept ans. Le nouvel album de Carla Bruni-Sarkozy n’a pas de nom. Il est fait de titres intimistes qui racontent nos vies cabossées, toutes différentes et si semblables parfois : deux amants séparés, un enfant en âge de quitter la maison, un secret bien enfoui.
Dans le huis clos du confinement, passé en famille, Carla Bruni a écrit son disque à la main et au piano. L’ex-First lady rock’n’roll s’est entourée d’autres mélodistes : Calogero pour une chanson, le pianiste Michel Amsellem pour une demi-douzaine. Et Albin de la Simone a réalisé l’ensemble. On apprécie particulièrement « Voglio l’amore », un rap (oui, oui) entre sœurs, en duo avec Valéria Bruni Tedeschi.
Où en est Carla Bruni ? On a sonné à sa porte, elle a ouvert.Vous avez écrit un certain nombre de chan Cet article est réservé aux abonnés. Débloquez tous les articles immédiatement et sans engagement. En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie d’analyse par Google.
Par Le Figaro Publié le 18/02/2019 à 16:54, Mis à jour le 18/02/2019 à 18:19 Carla Bruni, au côté de Nicolas Sarkozy à l’hommage national rendu à Charles Aznavour le 5 octobre 2018. LUDOVIC MARIN/AFP L’ancienne première dame est l’invitée toute la semaine de l’émission de France Culture.
Son père Alberto Bruni Tedeschi, son mariage avec Nicolas Sarkozy ou son amour de la musique: au micro de la journaliste Marie-Laure Delorme, la chanteuse évoque cette vie qui passe en instant «comme fanent les roses». «Il y a une chose pire que de ne pas être critiqué, c’est de ne pas s’exposer aux critiques.» C’est une des maximes préférées de Carla Bruni-Sarkozy.
À lire aussiCarla Bruni: «Une chanson, c’est comme un parfum» Carla Bruni est née le 23 décembre 1967 à Turin dans une famille bourgeoise du Piémont.
Si l’interview de Carla Bruni- Sarkozy par nos lecteurs s’est déroulée vendredi, au moment où courent les rumeurs sur une grossesse de la première dame, le principe de cette rencontre était en fait acquis depuis janvier dernier.
A 43 ans, l’ancien mannequin vedette qui a épousé Nicolas Sarkozy il y a trois ans à l’Elysée paraît à un tournant de sa vie, prête à s’engager davantage dans le combat politique de son mari, montant en puissance dans sa propre action contre l’illettrisme.
La société va mal, les gens vont mal, les politiciens ont-ils conscience de cela ?Les politiciens, je ne sais pas, mais mon mari, oui. (A ce moment-là, Nicolas Sarkozy entre dans la salle embrasser son épouse.) J’étais en train de dire que tu n’étais pas politicien! Je pense qu’il y a une grande différence entre le temps de la conquête politique et le temps de la responsabilité.
La conquête, c’est le temps de la séduction, des promesses. Aujourd’hui, mon mari est totalement dans l’action. Au risque d’ailleurs d’être impopulaire, comme par exemple avec la réforme des retraites, aussi douloureuse qu’indispensable.JEAN-CLAUDE BION. Conservez-vous votre sensibilité de gauche, à l’instar de votre sÅ?ur, Valeria Bruni-Tedeschi ?Bof! (Long silence.) D’abord, je suis sarkozyste. Je suis de son parti à lui.
Je pense que c’est le meilleur.Donc en 2012, vous voteriez pour Nicolas Sarkozy ?Ah, mais vous rigolezâ?¦ (Elle rigole.) C’est évident! Si vous saviez le mal qu’il se donne jour et nuit, à toute heure! Je suis ultra-sarkozyste. Je crois en lui.