Comment faire pour réaliser son rêve quand on est handicapé?
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Le sommeil des personnes handicapées : rêve ou cauchemar ? Pour sa chronique du 21 février 2017 dans le Magazine de la santé (France 5), Philippe Croizon livre quelques conseils pour passer une bonne nuit. A voir en replay. Aujourd’hui, Philippe, vous allez nous faire rêver.Je vais en effet vous parler de sommeil ; c’est un sujet qu’on aborde assez peu.
On parle beaucoup de projet de vie, de citoyenneté, d’accessibilité mais à quoi ressemble les nuits avec un handicap ? Lorsque la plupart de gens en profitent pour se ressourcer, leur sommeil peut, dans certains cas, virer au cauchemar. Et pourquoi avoir choisi cette date ? Parce que le 17 mars, c’est la 17ème Journée du Sommeil® (en lien ci-dessous).
« J’ai toujours voulu concevoir des objets et fabriquer de beaux vêtements pour les gens. J’ai de nombreux rêves, pour moi et pour ma famille. L’un d’eux est de réussir en tant que styliste », confie-t-il.Mais avant de poursuivre ses rêves, San Htoi Mun a dû trouver des moyens de survivre et a donc pris un emploi dans un restaurant.
« Un jour, ma tante m’a dit que le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) organisait des cours de couture à Myitkyina pour les personnes déplacées. J’avais hâte que la formation commence, car je savais que ce serait ma chance de concrétiser mes rêves », dit-il.Défier les préjugésÉtant le seul garçon inscrit au cours de couture, San Htoi Mun craignait que ses amis ou ses voisins se moquent de lui.
« Est-ce un problème qu’un garçon de 17 ans apprécie la beauté ? », s’est-il souvent interrogé. Malgré tous les commentaires, sa famille l’a soutenu dans ses choix.
Son parcours a été possible en partie grâce au soutien de Handicap International, qui lui a permis de se former au Bénin puis de mettre en œuvre ses compétences une fois rentré au Tchad. Peux-tu te présenter ? Je m’appelle Natoyallah Djimingaye, on me surnomme Wilfreed. J’ai 28 ans et je suis kinésithérapeute.
Je suis l’un des trois étudiants tchadiens ayant bénéficié d’une bourse d’études entièrement financée par Handicap International, dans le cadre de deux projets de l’association sur l’inclusion et l’appui au déminage. Il s’agissait d’une bourse pour un cursus complet de formation en kinésithérapie à la Faculté des sciences de la santé, de l’Université d’Abomey Calavi du Bénin. Quel a été ton parcours avec HI ? Mon aventure a commencé il y a six ans.
Fin 2015, j’ai fait partie des trois étudiants sélectionnés pour des études de kinésithérapie à Cotonou au Bénin. Ça a été une compétition vraiment rude, avec un test écrit, un stage d’observation et un entretien ! Le but ultime était de revenir au Tchad pour partager nos compétences et développer le domaine de la réadaptation, qui manque cruellement de ressources humaines.
Jean-René est hémiplégique, un handicap qui ne l’empêche pas de pratiquer du tir à l’arc depuis des années. Afin de montrer au plus grand nombre, que le handicap n’est pas forcément une entrave au dépassement de soi, son rêve serait d’être filmé dans le cadre d’un documentaire sur sa discipline. Jean-René Luc âge 33 ans habite à Raray dans l’Oise. Il est atteint d’une hémiplégie gauche à cause d’un accident de vélo à l’âge de 9 Ans.
Depuis sa vie a basculée, il a du vivre avec son handicap et trouver son épanouissement avec un sport. Après avoir pratiqué la sabarcane pendant 10 ans, il est passé au tir à l’arc. « Une chute de vélo a entraîné une paralysie côté gauche bras et jambe.