9 endroits magiques où un homme rêve secrètement d’être caressé?
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J’ai peut-être eu tort, car il est plus facile, comme vous le savez, de traiter les affaires de vive voix que par correspondance, et surtout j’aurais eu le vif plaisir de faire plus ample connaissance avec vous. Mais je ne me sentais pas dans un état assez convenable pour vous recevoir. 2982J’écris à vos collaborateurs MM. Pinsonneault et Charland.
Veuillez encore m’excuser, je réclame votre indulgence, et croyez bien, très Révérend Père, à mes sentiments respectueux. 2983Alain Grandbois 2984958 Ave. Moncton 2985Québec 960 Autographe, 2 f. (12,8 x 20,3 cm) dont le second est paginé 2, à l’encre bleue (BNQ, 410/9). 2986Le 8 juillet 68. 2987Mon cher Gaston Miron, 2988J’ai beaucoup de chemin à faire pour reprendre le retard de mon courrier, et cela m’effare.
961 Jean-Paul Pinsonneault (1923-1978), romancier et dramaturge, a été rédacteur de Mes fiches et de l (…) 2991M. Pinsonneault961 me demande, toujours fin février, et non répondu : l’autorisation de reproduire dans une anthologie des poètes canadiens-français962 cinq poèmes. Je vais répondre demain par l’affirmative. Je ne crois pas que vous y voyiez d’inconvénients, et nous nous arrangerons pour les droits.
Dans une édition de grand luxe, illustrée et à tirage limité (vente 75.00) la publication de Poèmes963. 2992Quant à moi, je suis d’accord en principe, et je vais demander à M. P. de communiquer avec vous. 2993Mais tout cela est peut-être trop tard ! 2994Quand venez-vous à Québec ? Et l’Europe ?
— Et là, je vois mon bon ange, avec ses boucles blondes, ses traits pleins de douceur, son éterner amour empreint sur les lèvres, et dans ses yeux bleus la félicité, et un gnôme noir l’arrache du sol, il lorgne en ricanant ses membres délicats, et l’embrasse étroitement dans un horrible étreinte : un cri éclatant gronde comme un tonnerre à travers l’univers, les colonnes se brisent, terre et ciel s’écroulent, et le règne de l’antique nuit < recommence.
RA TCLIFF Le dieu des songes me transporta dans une plaine, où des saules pleureurs me donnaient la bienvenue avec leurs longs bras verts, où les fleurs me regardaient silencieusement comme avec des yeux de sœurs, où le gazouillement des oiseaux, et les abois des chiens mêmes, me semblaient connus, où les voix eL les fleurs me saluaient comme un ancien ami, et où tout pourtant me semblait si merveilleux, si bizarre, si étrange!
Je me trouvais devant une élégaute maison rustique; mon cœur était ému, ma tête calme ; je j secouai tranquillement la poussière de mes habits de j voyage, la cloche rendit un son clair, et la porte s’ouvrit. C’étaient des hommes, des femmes, bien des visages connus. Sur tous étaient empreints un deuil silencieux et une secrète angoisse.
» demandai-je ; mais elle ne répondit pas, prit doucement ma main, et me conduisit à travers une longue suite de chambres éclairées, où régnait la magnificence et un silence de mort, puis m’introduisit dans une pièce à demi obscure. Détournant la tête, elle me montra là une figure assise sur le sopha. « Êtes-vous Maria?