Dans quelle série télé donald trump rêvait il de jouer?
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Dans Good Morning Britain, la garce brune du soap-opera mettant en scène les rivalités de familles riches et puissantes du Colorado a raconté comment Donald Trump avait approché les producteurs : « Il est allé parler à un des directeurs de casting, qui était un des grands pontes d’ABC. Donald lui a dit : ‘Je veux être dans Dynasty’ et il a répondu : ‘Mais tu n’es pas acteur’. Donald a dit : ‘Non, mais je suis Dynasty !
‘Le producteur s’est retourné et lui a dit ‘Désolé, le casting est complet' ». « Six moi plus tard, Donald avait sa propre émission. C’est un très bon businessman ! », a reconnu l’actrice aujourd’hui âgée de 82 ans. DR Tout n’a pas été perdu pour Donald Trump, qui peut se féliciter d’avoir laissé son empreinte sur sa série fétiche, puisque Joan Collins a confié s’être inspirée de lui pour composer son personnage. « Je voulais le regard d’un businessman.
House of Cards Première série originale de l’histoire de Netflix, House of Cards nous plonge au coeur du système politique américain à travers ses 73 épisodes répartis sur six saisons. Au début de la série, Frank Underwood (Kevin Spacey) est le coordinateur de la majorité parlementaire au Congrès et se voit refuser le poste dont il rêvait, à savoir Secrétaire d’Etat.
Il va alors tout mettre en oeuvre pour accéder au pouvoir en compagnie de son épouse Claire (Robin Wright) et SPOILER, y arriver puisqu’il sera Président. Pour y arriver, il ne va pas hésiter à se salir les mains et à se débarrasser de ceux qui l’embarrassent. Entre deux manipulations, on en apprend plus sur les campagnes électorales avec des épisodes consacrés aux primaires, la création des lois ou sur les différents comités.
Le tout avec plus de sang et de corruption que la réalité (à moins que..). Pour info, House of Cards est adaptée d’une série britannique datant de 1990, elle-même basée sur un roman de Michael Dobbs. Cette info peut servir en société (ou plutôt en apéro virtuel en ce moment…). Où la voir : en intégralité sur Netflix.
Donald Trump, comme les garçons de la famille, est destiné à grandir sous l’unique autorité de son père. Fred Trump est son modèle. Sa mère, Mary Anne McLeod, une Ecossaise, pieuse paroissienne de l’église presbytérienne, ne va dès lors n’apparaître qu’en filigrane de la trajectoire Trump. Il répètera que c’était une mère fantastique mais ne s’attardera pas plus loin dans ses confidences.
Dans les années 80, cette mère, lassée par les frasques de son Donald s’exclamera alors : « Quel fils ai-je donc fait ? ». Quand Donald Trump s’installera dans le bureau ovale de la Maison Blanche, il n’accrochera qu’une seule photo, celle de son père. Ses conseillers en communication ajouteront un peu plus tard, le portrait de sa mère.
Un voisin dira avoir vu le jeune Tump jeter des pierres sur son fils alors que celui-ci n’était encore qu’un bébé. « J’aimais bien créer le chaos dans la cour d’école, tester les limites des gens. Au fond je n’ai pas changé », dira Trump.
Mais Donald Trump, qui a peu de goût pour l’ombre, même passagère, pousse la logique très loin, à deux mois et demi d’un scrutin qui s’annonce difficile pour lui.Les électeurs approuvent le choix Kamala HarrisJeudi, quelques heures avant le discours au cours duquel Joe Biden acceptera officiellement sa nomination, couronnement d’une carrière politique entamée il y a un demi-siècle, le milliardaire allumera un autre contre-feu.
Il s’exprimera depuis la banlieue de Scranton, ancienne ville industrielle de Pennsylvanie où est né l’ancien vice-président. Tandis que les ténors démocrates, Barack et Michelle Obama en tête, se succéderont à la tribune (virtuelle) de la convention, le locataire de la Maison-Blanche se rendra aussi cette semaine dans le Minnesota et l’Arizona.Lire aussi Gérard Araud – Biden a déjà gagné, à moins que…
Longtemps marquée par un faux rythme en raison de la pandémie du Covid-19, qui limite les interactions avec les électeurs, la campagne a bel et bien démarré. L’annonce du choix de la sénatrice Kamala Harris comme colistière a donné un coup de fouet à la campagne jusqu’ici extraordinairement discrète de Joe Biden.
Avec la complicité d’une distribution en béton, à savoir, entre autres, Jeff Daniels qui joue James Comey, Holly Hunter dans le rôle de Sally Yates, procureure générale adjointe des États-Unis, ou encore Michael Kelly dans celui d’Andrew McCabe, d’abord vice-directeur du FBI puis directeur par intérim après le limogeage de James Comey.
Sans oublier évidemment l’acteur irlandais Brendan Gleeson, qui avec une justesse éclatante et une économie qui force le respect, réussit à incarner Donald Trump en s’arrêtant toujours à la limite de la caricature.La caméra, comme un scalpel, décortique le fonctionnement des enquêtes et du « système » Trump.
Accepter Plus d’info America FirstOn sera peut-être agacé par le côté « hagiographie à l’américaine » avec force violons en cascades de la série.