Enfant qui rêve imagine jules verne?
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La veille de la Toussaint, il se rend sur une île de la Loire avec son jeune frère Paul et sa cousine Caroline. Souhaitant y trouver des roches magiques, Jules est surpris par un fantôme qui lui fait prendre la fuite. De retour chez lui, il procède à un rituel celtique selon les instructions de son oncle Francisque. Mais voilà que l’expérience tourne mal et que sa jeune soeur tombe malade.
Jules retourne à l’île pour tenter de réparer ses torts, mais il est projeté dans le futur. Il est alors contraint de faire un choix déchirant quant à son avenir. Cette bande dessinée est le premier tome d’une série qui prête à Jules Verne une enfance fictive. Le futur grand auteur y est dépeint comme un garçon d’une grande vivacité, passionné par les récits d’aventures.
Fantômes, magie et voyages dans le temps apportent à l’ouvrage une dimension fantastique où la réalité est distordue. Le texte se compose essentiellement de dialogues au ton vif et aux réparties amusantes.
Ainsi la chronologie établie pour cette édition – mais aussi le bel album concocté par François Angelier à cette occasion – permet de réaliser l’influence des voyages personnels de Jules Verne sur les Voyages extraordinaires.» Jules Verne ou l’enfance du monde
Philippe Barthelet, Valeurs actuelles (28 juin-4 juillet 2012)
« Comme nous le rappelle Jean-Luc Steinmetz, le maître d’oeuvre de cette édition, dans une introduction lumineuse et passionnée, l’optimisme technicien de Jules Verne ne va pas sans nuance.
N’importe : par une « anticipation à rebours», il nous embarque vers « l’enfance du monde » Jules Verne en mouvement perpétuel
Florent Georgesco, Le Monde des Livres (18 mai 2012)
« Ainsi que l’écrit l’universitaire et poà ̈te Jean-Luc Steinmetz dans sa riche introduclion, Jules Verne «est un imaginatif qui se sert de la science comme d’un tremplin (d’un alibi) pour réaliser son rÃave, celui de redire le monde à sa manià ̈re et d’entrer tout vivant dans l’impossible»