Adolescente qui rêvait de devenir connue?
Share
Please briefly explain why you feel this question should be reported.
Please briefly explain why you feel this answer should be reported.
Please briefly explain why you feel this user should be reported.
A tous juste 18 ans, Madeline Stuart, est un exemple pour bon nombre de personnes et promet de bousculer les standards de beauté. Elle vient de signer un contrat qui a une grande signification, puisque c’est un contrat de mannequinnat.
On se souvient de cette adorable fille qui avait fait le buzz sur les réseaux sociaux il y a quelques mois en exprimant sa détermination à devenir un jour un mannequin malgré son handicap.
« Je crois qu’il est temps que les gens réalisent que les personnes atteintes de trisomie peuvent être sexy et belles, et devraient être célébrées » a expliqué Roxanne, sa mère. Le parcours de la jeune femme sera certainement un modèle pour toutes les personnes ayant un handicap. Une belle leçon de vie !
Il n’a que 16 ans mais vient de faire la couverture de Vanity Fair, a chanté à la Maison-Blanche, vendu 9 millions d’exemplaires de son premier album, My World, engendré 100 millions de dollars de recettes en 2010, comptabilise 16,5 millions d’amis Facebook et 6,3 millions de followers sur Twitter… Ses vidéos YouTube ont, elles, été vues plus de 1 milliard de fois.
Lady Gaga peut aller se rhabiller : en 2010 comme en 1960, ce sont les adolescentes qui font la loi dans le monde de la pop culture. Et elles votent Bieber. La newsletter culture Tous les mercredis à 16h Recevez l’actualité culturelle de la semaine à ne pas manquer ainsi que les Enquêtes, décryptages, portraits, tendances…
Cependant, loin d’être un épiphénomène réservé aux filles de moins de 15 ans, la Bieber mania touche aussi les femmes pubères et leurs garçons qui, même s’ils rechignent à écouter ses ritournelles sentimentales, ont adopté sa coupe de cheveux, casque blond et grande mèche sur le front.
Laha Luco, aimait le football et rêvait un jour de devenir joueur professionnel. Il se démarquait par son talent de manier le ballon rond comme personne parmi son groupe d’amis. On l’acclamait. Il nourrissait ce rêve de devenir joueur de foot professionnel jusqu’à l’âge de 14 ans où tout a basculé. La poliomyélite l’a frappé de plein fouet. Il a perdu l’usage de ses jambes.
Il perd avec cela son rêve. Mais Luco est résilient. C’est le genre de gamin qui n’abandonne pas facilement. Il se ressaisit. Grâce au soutien de son entourage, il arrive à continuer sa vie d’adolescent comme tous les autres malgré son handicap. Aujourd’hui à 19 ans, il est en classe de première. Après son bac l’année prochaine, il envisage de continuer ses études universitaires pour devenir médecin.
Mais à côté de cela, il s’est découvert un autre talent, caché au fond de lui. Écrire et chanter. Il lui vient alors un autre rêve, celui de devenir un compositeur et chanteur professionnel, célèbre.
Si sa chanson est devenue virale en France et dans toute l’Europe, la jeune chanteuse, qui n’était qu’adolescente à l’époque, a été confrontée à un difficile harcèlement en ligne. Un acharnement qui a eu de graves conséquences sur sa santé mentale comme elle vient de le confier dans un message posté sur Instagram à l’occasion de son 18e anniversaire.
« Aujourd’hui, j’ai 18 ans… Et au regard de ce que j’ai vécu, je m’aperçois, moi, la petite Carla de 12 ans qui rêvait d’être chanteuse pour enfin devenir heureuse. Mais vivre son rêve n’est pas synonyme de bonheur », a-t-elle écrit en soulignant qu’il n’y « avait qu’un pas entre le rêve et le cauchemar ».
« Quand tu as entendu Bim Bam Toi pour la 1ère fois, tu n’imaginais pas l’ascension vertigineuse qui suivrait. La lumière de la célébrité deviendra une ombre inattendue à cause d’un mot : “harcèlement”.
J’ai admiré des gens qui savaient se détruire, mais je n’étais pas doué pour ça.A travers vos images publicitaires, ne participez-vous pas à une quête d’esthétisme, de maigreur et de perfection très névrotique pour beaucoup de femmes ?C’est l’histoire de l’apprenti sorcier. Je pousse ce que je crois correspondre à l’évolution de l’esthétique. Si ça entraîne des névroses, je n’y peux rien.
Quand vous faites des choses pour rassurer les névroses, les gens n’en veulent pas. Si vous faites une collection pour les femmes fortes, elles disent : ça n’est pas pour moi. A l’inverse, si vous essayez de flatter trop large, ça se retourne contre vous. Malheureusement, les gens sont masochistes.
Ce n’est pas à moi d’en faire une réalité commerciale par une espèce de terrorisme totalitaire, à force de publicités par exemple. Je propose, aux autres de choisir.Aimez-vous l’argent ?Je déteste ça, je n’aime que l’argent qui circule.