Ami de freud qui éclaira son interprétation des rêves?
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En cela, je rejoins le propos de René Girard : « Chez Freud il y a une pensée mobile et vivante qui n’a jamais cessé de chercher dans de multiples directions alors qu’aujourd’hui les thèmes psychanalytiques en sont arrivés au stade du ressassement caricatural et leur échec est éclatant.
»[18]Dans le contexte actuel (c’est à dire depuis quarante ans), où la psychanalyse ressent durement le contrecoup de sa prétention dogmatique (contrecoup que certains défenseurs obtus nomment maladroitement « révisionnisme »), je voudrais lui tendre la seule perche encore susceptible de la sauver, c’est à dire de la restituer dans un projet scientifique initial, si toutefois la chose est encore possible. Cette perche, c’est la Théorie mimétique.
Bien sur, ses défenseurs orthodoxes regretteront que la psychanalyse qu’ils ont connue dominante ne s’en sorte pas indemne, mais cet état moins glorieux est de leur fait, pas du notre. Revenons à « l’affaire ».
Une partie de l’interprétation de Freud sur son propre rêve serait un rajout postérieur, une association totalement indépendante du contenu latent du rêve : la diphtérie de sa fille aînée Mathilde et les souffrances infligées à l’une de ses patientes. Egalement nommée Mathilde, elle a succombé aux effets d’un traitement mortellement dangereux[19].
Nous pouvons penser qu’il écrivit intégralement ce jour là le récit du rêve seulement, récit dans lequel Mathilde n’apparaît tout simplement pas. Freud n’est pas un perfectionniste, car il ne dispose pas d’assez de temps pour relire et reprendre sans cesse ses textes.
Historiquement, le rêve est passé du statut de messager externe (production divine) à celui de production psychique personnelle liée au rêveur, à son histoire personnelle, à son être, sa nature d’humain. La naissance de l’intérêt nouveau et scientifique pour l’étude des rêves date du début du XXème siècle et la parution de l’ouvrage de Sigmund Freud L’interprétation des rêves (1899).
Un parcours dans ses souvenirs d’enfance est ainsi réalisé, des contenus de rêves rassemblant des scènes du présent et des souvenirs ou personnages passés. Il mentionne aussi le travail effectué par lui sur les rêves de ses analysants, de ses amis, de ses enfants.
Cet ouvrage offre un éclairage varié sur les modes de vie et préoccupations de ses proches et de lui-même, uniquement en cheminant à travers le matériel onirique. Son interprétation des rêves contient déjà tous les éléments de la théorie psychanalytique, qu’il détaillera et étayera plus tard dans d’autres ouvrages : l’existence d’un inconscient, les luttes entre le Moi et le Surmoi, etc…
Le rêve est considéré par S. Freud comme la « voie royale de l’inconscient.
Liste des livres concernant l’histoire antique, provenant de la bibliothèque de Freud45 Abraham, K. Traum und Mythus : eine Studie zur Völkerpsychologie. Leipzig/Wien : F. Deuticke, 1909. —. De Droom en de Mythologie. Een Bijdrage tor de Psychlogie van de Menschheid. Leiden : S.C. van Doesburg, 1914. —. Dream and Myths: A Study in Race Psychology. New York: Nervous and Mental Disease Publication, 1913. Angkor.
Paris, 1931 (album avec 42 photos sur la Grèce antique) The Annual of the British School at Athens, no. VI, 1899-1900. London: Macmillan, 1901. Die Antike : Zeitschrift für Kunst und Kultur des klassischen Altertums. Berlin/Leipzig : W. de Gruyter, 1929, 1938. Gesellschaft für Antike Kultur. Berlin: Bericht, 1924-1928. The Book of Dead: An English Translation of the Chapters, Hymns of the Theban Recension.
Geschichte Israels von den Anfängen bis zum Tode Salomos. Berlin : K. Wolf, 1932. Bachofen, J. Das Mutterrecht. Eine Untersuchung über die Gynaikokratie der alten Welt nach ihren religiösen und rechtlichen Natur. Basel : B. Schwabe, 1897.* Bayer, Josef. Der Mensch in Eiszeitalter. Leipzig, Wien : F. Deuticke, 1927. Baker, C. Hannibal. London: E. Nash and Grayson, 1930. Berneri, C. Le Juif anti-sémite. Paris : Editions Vita, 1936.
Bienkoswki, Petrus. De Simulacris Barbarum Gentium apud Romanos. Corporis Barbarorum Prodomus. Kraków : Gebehner, 1900.* Boetticher, Adolf. Die Akropolis von Athen. Nach den Berichten der alten und den neusten Erforschungen. Berlin : J. Springer, 1888. —. Olympia, das Fest und Seine Stätte.