Arthur arthur vous qui réalisez les rêve chanson?
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Je vous propose de participer à ce projet avec moi et de rendre la production de ce disque possible grâce à vos dons, avec évidemment quelques contreparties rien que pour vous hehe :)J’espère avec cette cagnotte réunir 5000€ qui viendront soulager le budget global.Mais peut-être pourrons nous faire bien plus !!
VIDEOUtilisation des donsLe coût de ce projet est de 15000 € -> 6000 € pour l’enregistrement, le mixage et le mastering-> 2000 € pour les premiers pressages -> 1000 € pour la photo et les premières images vidéo-> 1000€ pour le matériel de scène (je m’équipe de ears monitors pour les premières parties à venir) -> 5000€ de promotion, communication, réalisation de clip et photos etc…Qui suis-je ?VIDEOJe suis musicien depuis tout petiiiit, j’ai écrit ma première chanson à 8 ans :)Je suis allé de projet en projet durant mon adolescence jusqu’à adopter mon nom de scène « Arthur Rêvé ».
DANS LES YEUX et les gestes d’Arthur, la fatigue et la nervosité commencent à se faire sentir. L’heureux vice-président d’Endemol France, producteur de « Loft Story » pour M 6, pourrait s’offrir un petit break.
Mais, déçu d’avoir subi un échec d’audience il y a trois semaines avec « CIA », qui n’a rassemblé que 4,7 millions de téléspectateurs sur TF 1, il n’a pas envie de terminer la saison sur une fausse note.
TF 1 m’en laisse la possibilité. Au lendemain de la déception de CIA, j’ai recommencé en bossant sur Rêve d’un soir.
Il apporte beaucoup sur l’arrangement et il aide à canaliser les idées. C’est très enrichissant. Il fait en cinq minutes quelque chose qui va te prendre deux heures ou que tu ne vas pas réussir. Il fait partie de ces artistes sympathiques qui ne portent pas sur eux le côté star-system. Vu que je suis encore jeune, j’apprends énormément.Vous avez également formé le groupe Gaviny.
Comment faites-vous pour gérer tous ces projets à la fois ?C’est la raison pour laquelle je ne veux pas me précipiter avec l’album. Il ne faut pas mettre les projets en concurrence. J’arrive à gérer parce que je suis arrivé au bout de ma première histoire. Antoine Solmiac fait de la chanson française qui défend les valeurs de la Bretagne. Moi, je suis plus dans l’électro-pop.
Nous nous sommes rencontrés par hasard et notre projet pop folk celtique est né en septembre. C’est important de travailler sur plusieurs choses, pour rester sain d’esprit.
Mais j’ai eu très tôt, dès l’âge de 6 ans, l’intuition que ça serait mon métier. La découverte de Matthieu Chedid a beaucoup compté dans votre parcours… Quand j’ai découvert cet artiste, j’ai compris que les chansons ne tombaient pas du ciel. Il m’a donné envie de creuser…
Très tôt, vous avez évolué au sein de groupes… J’ai notamment fait partie d’une formation qui s’appelait Prym’, que nous avions lancée avec trois copains. On a vécu une belle histoire : on a fait une télé sur France 2, avec Nagui et Jean-François Zygel.
Un copain avait vu à la télé l’annonce de leur émission « La Grande Battle », qui proposait aux musiciens de reprendre des morceaux classiques à leur manière. Comme je bossais les Quatre Saisons de Vivaldi à la guitare, on s’est présentés en groupe et on a arrangé le morceau à notre sauce. Ce passage à la télé nous a ouvert de nombreuses portes.