Celui qui rêve qu’il couche avec sa mere tora?
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Il se peut que les différentes versions de cette narration traduisent un différend entre les rabbins quant à l’interprétation du fait que Rebecca était également la mère d’Ésaü (et donc d’Amalec) : Ésaü a-t-il par son seul statut de frère aîné empêché que la matriarche ne devînt directement la mère du peuple aux douze tribus ?
Ou était-ce un acte de violence après sa naissance qui a contrecarré la faculté de Rebecca à enfanter ? Une version plus courte qui aborde ce thème se trouve déjà dans BerR 81, 5 (sur Gn 35, 8 sq.).
L’attention particulière portée dans ce midrash aux funérailles de Rebecca est d’autant plus frappante qu’il juge favorablement la présence d’Ésaü aux obsèques de son père Isaac (Gn 35, 29) au chapitre suivant ; selon BerR 82, 14 (sur Gn 36, 12) sa présence peut être considérée comme un acte respectant la Loi qui demande à honorer son père (kiboud ’av), et dans ce sens comme une « bonne action » (mitswah) – certes la seule qu’il ait accomplie !
On y apprend que sa sœur Léa est enterrée à côté d’elle. Pesikta de-Rab Kahana. Piska 3, 1 (W. Braude et I. Kapstein, Pesikta…, op. cit., p. 45). Ibid. ; voir à ce sujet S. Krauss, Griechische…, op. cit.
Elle sera, ta postérité, comme la poussière de la terre ; et tu déborderas au couchant et au levant, au nord et au midi » et cette promesse de bonheur à un homme hier insécurisé ne le concerne pas seulement lui mais elle vise selon un dessein mystérieux « toutes les familles de la terre seront heureuses par toi et par ta postérité.
» Et selon une belle image psychologique, l’Éternel, « le Dieu d’Abraham ton père et d’Isaac » ne se révèle pas comme un parent abandonneur mais comme celui qui dit : « je ne veux point t’abandonner ».
« Oui, je suis avec toi; je veillerai sur chacun de tes pas et je te ramènerai dans cette contrée »… et une terre.
Et Rachi, toujours dans le détail concret commente avec le talmud :
Son rêve qui le rappelle à la vocation d’Israël de s’élever au-delà du matériel pour y redescendre semble le réunifier, lui rendre son unité intérieure, son chalom, sa refoua chléma.
Alors que le film compte plusieurs sauts dans le temps dus à l’itinérance du personnage de Tora, j’avais vraiment l’impression d’être dans du cinéma de l’instant où on est surpris, comme chaque membre de la famille à ce qui se passe sous nos yeux : Un personnage qui fait son apparition, une phrase maladroite, un comportement inapproprié, des retrouvailles (cette scène où Sakura retrouve Tora-san après qu’il se soit barré suite à une dispute, dans le même temps elle se rend compte que Fuyuko, une amie de longue date est là aussi, son regard s’illumine, elle quitte la scène et l’euphorie continue en sourdine malgré tout alors qu’une nouvelle situation comique débute).
On retrouve cette tendresse des liens familiaux, des relations, des attentes, qui n’a pas voulu mettre un coup de pied au cul d’Hiroshi pour qu’il aille déclarer sa flamme à Fuyuko ?!!
Et là, c’est au contraire le moment le plus redouté de la journée. Essayons de comprendre pourquoi le coucher des enfants est si difficile… D’une part du côté de l’enfant : pourquoi n’aime-t-il pas aller dormir ? D’autre part du côté des parents : pourquoi perdons-nous patience ? Du point de vue des enfants : Il faut tout d’abord se mettre à leur place.
Au mieux, vous vous exécuteriez en prenant largement le temps pour dire « au revoir » à vos amis, danser encore une fois avec la mariée, etc. Au pire, vous lui diriez qu’il ne s’inquiète pas et que vous vous lèverez très bien le lendemain. Cette situation que je viens de décrire est exactement celle que vivent les enfants chaque soir.
Même si vous leur rappelez que s’ils ne vont pas dormir, ils seront fatigués le lendemain, l’attirance du moment est trop forte : il y a encore de la vie dans la maison, peut-être même des grands frères ou sœurs qui se couchent plus tard, ou pire encore des invités.