Ces héroïnes de séries qui nous ont fait rêver?
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Les héroïnes de séries nous ont fait rêver pendant de longues années sur le petit écran. Bien avant certaines stars du cinéma.
Brunes ou blondes, jeunes ou pas, mystérieuses, sympathiques, insupportables par moment même, elles ont su marquer nos mémoires avec un caractère bien particulier, une allure lookée, marquée par son époque, mais surtout, elles avaient une signature : un rire, une coupe de cheveux, une intonation dans la voix, un regard fort…. D’Amanda Woodward à Laure Olivier, en passant par Rachel Green, Ling Woo, Serena van Der Woodsen ou Buffy Summers, (re)découvrez en images, ces stars de séries qui nous ont fait rêver… Laure Olivier dans « Sous le soleil » Valentine Léger dans « Jamais deux sans toi…t » Linda dans « Classe Mannequin » Amanda Woodward dans « Melrose Place » Brenda Walsh dans « Beverly Hills 90210 » Kelly Kapowski dans « Sauvé par le gong » Buffy Summers dans « Buffy contre les vampires » Carrie Bradshaw dans « Sex and the city » Rachel Green dans « Friends » Serena Van Der Woodsen dans « Gossip Girl » Dana Scully dans « X-Files : aux frontières du réel » Joey Potter dans « Dawson » Samantha Micelli dans « Madame est servie » Laly Paoli dans « Hélène et les garçons »Ling Woo dans « Ally McBeal »
Des séries célébrant l’amitié féminine, ça fait toujours plaisir à regarder. Très vite, on rêve nous aussi d’intégrer ces groupes d’héroïnes qu’on a l’impression de connaître depuis toujours. La rédac de Serieously vous propose cinq exemples ! Sex and The City © HBO Il faut l’avouer, nous nous sommes tous déjà demandé si nous étions plus une Carrie, une Charlotte, une Samantha ou une Miranda !
Série phare de la fin des années 90, Sex and The City a fait rêver de nombreux téléspectateurs en présentant les aventures de ces quatre femmes indépendantes qui se retrouvent tous les jours pour partager leurs aventures quotidiennes. Entre dîners mondains, brunch New-Yorkais et défilés haute-coutures, on imagine tous les bons plans auxquels on pourrait avoir accès en trainant avec elles !
Betty © HBO La série Betty, adapté du film Skate Kitchen de Crystal Moselle, nous fait suivre le quotidien d’un groupe de jeunes skateuses.
L’année 2021 aura été marquée par de nombreuses héroïnes de séries télévisées. Découvrez celles qui nous ont émus et nous ont fait rêver ces derniers mois. À lire plus tardSauvegardéSuivre #séries#séries SuiviLes fans de séries ont pu découvrir de nouveaux shows cette année. Certains personnages féminins ont marqué les téléspectateurs que ce soit par leur personnalité ou leurs pouvoirs.
Découvrir notre dernier podcastCes héroïnes de série qui ont marqué 2021L’année 2021 a été particulièrement mouvementée notamment à cause de la Covid-19. L’épidémie a perturbé la sortie de nombreuses séries, mais les chaînes ont tout de même réussi à s’adapter. Après deux ans d’absence, The Witchera fait son retour sur Netflix avec une saison 2.
Si la première saison était une grosse introduction, les nouveaux épisodes ne manquent pas d’action. Les fans ont pu découvrir un peu plus Ciri et l’ont vue évoluer au cours de la saison 2. La protégée de Geralt a bien grandi et semble acquérir de nombreux pouvoirs.
Qui pour prendre la place de nos chères Buffy, Bree Van De Kamp, Claire Underwood, Ma Sorcière Bien Aimée ou Daenerys ou Piper Chapman ? Notre casting des quatre actrices badass qui trustent les séries canons du moment. Dans la famille : Psycho mother Je demande : Jessica Biel dans The Sinner.
Faits d’armes : Révélée par la série 7 à la maison, Jessica est blacklistée du casting après avoir posé topless dans un magazine. S’en suit une longue traversée du désert. La brune aux yeux verts tente de rebondir, sans succès notoire, avant de mettre le grappin sur le célibataire le plus convoité d’Hollywood, et devenir madame Justin Timberlake.
Superpouvoirs : Telle un phénix renaissant de ses cendres, Jessica est la sensation de la rentrée. Dans l’excellent The Sinner, qu’elle produit, elle incarne Cora, une mère dépressive et suicidaire qui commet un crime incompréhensible : elle poignarde un inconnu sur la plage, devant sa famille, avec le couteau qui vient de servir pour éplucher une pomme pour son fils.
Mais ces costumes relèvent plus du domaine aspirational (ils font rêver) que de la vie de tous les jours. Ils mériteraient d’être exposés dans un musée ou au festival Séries Mania, comme la garde-robe inimitable de Fran Fine dans Une Nounou d’enfer. C’est pourquoi nous allons plutôt ici nous pencher sur les looks de personnages de séries que l’on peut afficher au quotidien.
Comment ces héros sont-ils devenus, malgré eux, des icônes de la mode ? Quelles ont été les inspirations des créateurs de leurs costumes ?
« The Rachel » peut en effet être considéré comme le septième personnage de la sitcom culte Friends. Cette coiffure dégradée au brushing fastidieux créée par Chris McMillan a été aperçue pour la première fois dans l’épisode 20 de la saison un.
Sa présence dans les deux saisons suivantes – au pic de popularité de la série – a tellement marqué les esprits que des milliers de spectatrices se sont ruées chez le coiffeur pour émuler la tendance. La coupe légendaire a, depuis, échappé au contrôle de son inventeur et de sa muse.
Voilà pourquoi après un dernier chapitre consacré à « Brokeback Island » et autres créations de fans développant le potentiel de leur série de prédilection ou en révélant les manques, le mot d’adieu aux lecteurs est laissé à Prospero demandant à être libéré de l’île dont il est pourtant le démiurge : les séries oniriques, qui sont celles qui génèrent le plus de débat et d’activité sur Internet, voire dans les cercles universitaires, s’offrant plus que les autres à l’appropriation par autrui, reproduiraient dans leurs séquences de rêve un lâcher-prise auctorial ouvrant la fiction aux rêveries comme aux analyses des spectateurs.
8Spectatrice et grande amatrice autant que fine spécialiste, Sarah Hatchuel nous offre ici un très bel éloge de ces produits télévisuels fascinants et une invitation aux lecteurs à participer à la fabrication d’autres mondes que ces œuvres assurent et permettent.
On ne peut que recommander la lecture de ce livre aux spécialistes des séries comme à ceux qui travaillent plus largement sur la fiction ainsi qu’aux amateurs de séries comme à ceux qui doutent encore de leur intérêt, tant il met au jour les raisons profondes de la fascination qu’elles exercent sur des publics divers que Sarah Hatchuel ne manque jamais d’inclure dans son travail si généreux.