Comment la femme réjoui pendant ces rêves?
Share
Please briefly explain why you feel this question should be reported.
Please briefly explain why you feel this answer should be reported.
Please briefly explain why you feel this user should be reported.
Ils recrutent en effet des volontaires dont ils stockent patiemment les récits dans des « banques » de rêves de plus en plus fournies, comme celle de l’université de Santa Cruz (Etats-Unis), qui en contient 22 000; ou encore celle de l’université de Montréal (Canada), avec 10 000 descriptions. Y compris des songes érotiques, plus fréquents chez les hommes (4% de leurs rêves) que chez les femmes (seulement 0,5% des leurs).
D’abord l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), qui montre les zones du cerveau en activité (repérables car elles réclament davantage d’oxygène). Ensuite l’électroencéphalographie, qui mesure l’activité électrique de cet organe. Le bond est tel que les neuroscientifiques disposent pour la première fois, depuis Freud et sa tentative d' »interpréter les rêves », d’un modèle cohérent permettant de comprendre à quoi servent nos songes.
Certes, nombre d’hypothèses demandent à être plus solidement validées, mais les grandes lignes sont bel et bien tracées.Digestion et anticipationPour un nombre croissant de scientifiques, les rêves ont deux fonctions. La première: « digérer » les événements vécus et les transformer en expérience utile pour la suite de notre parcours. La seconde: anticiper les épreuves à venir et s’y préparer.
On parle ici exclusivement des songes qui se déroulent pendant le sommeil « paradoxal », ainsi qualifié car, dans cette phase qui se répète au cours de la nuit, les muscles restent atones mais le cerveau, lui, demeure en ébullition.Les rêves à cette étape-là sont les plus élaborés, mais aussi ceux qu’on se rappelle le mieux.
Selon les Autochtones, le rêve est le langage de l’âme. Durant le sommeil, tandis que le corps est au repos, l’âme accomplit de multiples actions, aussi réelles que le réel extérieur lui-même. Elle voyage, combat, aime, se réjouit, s’attriste, et surtout manifeste ses désirs, ses volontés. L’Amérindien restait à l’écoute de ses rêves et les analysait selon ses propres conceptions. Le rêve était interprété comme une visite des esprits.
Il pouvait être un présage pour la chasse, une ligne de conduite à adopter ou un conseil pour la vie quotidienne. Le rêve représentait également un mode d’expression des besoins de l’âme qu’il fallait satisfaire. Il exprimait des désirs secrets ou refoulés et soulageait les tensions psychiques et psychosomatiques. Selon les Iroquoiens, plusieurs maladies provenaient d’un désir de l’âme resté inassouvi.
Quand le rêve devenait plus difficile à comprendre, on avait recours au chaman pour en saisir le sens. Les Iroquoiens poussaient très loin l’interprétation des rêves. Dans ce domaine, ils avaient une longueur d’avance sur les Européens des 17e et 18e siècles.
Elle souffrait d’accès d’angoisse très pénibles, et, comme il arrive habituellement dans ces cas, ses rêves présentaient quantité de pensées d’origine sexuelle. Quand je les lui fis connaître, elle en fut d’abord aussi surprise qu’effrayée. Comme je ne puis poursuivre l’interprétation jusqu’au bout, la matière du rêve paraîtra fragmentée en plusieurs groupes sans lien visible.
Contenu du rêve : Elle se rappelle qu’elle a deux hannetons [5] dans une boîte; elle veut les mettre en liberté, parce que sinon ils vont étouffer. Elle ouvre la boîte, les hannetons sont tout épuisés; l’un d’eux s’envole par la fenêtre ouverte, l’autre est écrasé par le battant de la fenêtre, au moment où elle la ferme, comme quelqu’un le M demandait (manifestations de dégoût). Analyse.
Ce sont les deux occasions du rêve, elles sont indifférentes en elles-mêmes. Elle continue à penser à la cruauté à l’égard des bêtes. Il y a quelques années, comme elles passaient l’été à la campagne, sa fille avait été très méchante pour les animaux. Elle voulait collectionner des papillons et elle lui avait demandé de l’arsenic pour les tuer.
Un jour, un papillon de nuit, qui avait une aiguille dans le corps, vola longtemps encore autour de la pièce ; une autre fois, plusieurs chenilles, qu’elle avait conservées pour voir leur métamorphose, moururent de faim.
Avec le temps, cela deviendra peut-être plus précis.» Yukiyasu Kamitani aimerait développer cet aspect. Avec une technologie un peu plus évoluée, il est envisageable de reconstruire un jour nos rêves sur écran. «Je ne vois pas où serait le problème, relève Sophie Schwartz. Pour autant qu’on dispose d’une méthode d’enregistrement en continu de l’activité cérébrale pendant le sommeil, avec une résolution spatiale et temporelle suffisante.
Il faudrait aussi pouvoir étudier une personne pendant assez longtemps, en lui fixant une caméra sur la tête, pour filmer exactement ce qu’elle voit. On constituerait ainsi un répertoire d’images et des signatures cérébrales correspondantes qui permettrait de recréer le film de ses rêves.»Il faudra toutefois se contenter de la version muette, du moins dans un premier temps, avertit la chercheuse, parce que décoder les paroles est encore hors de portée.
«Il est aussi possible que nous n’arrivions jamais à obtenir un certain niveau de détail, comme les formes précises et les couleurs, nuance Yukiyasu Kamitani. Quand un sujet dit qu’il a rêvé d’une femme, il est souvent incapable de donner la teinte de ses vêtements. Peut-être manque-t-il aux rêves certains aspects visuels, comme la couleur ou la texture.
Il le frappe avec dans le but de le déranger, d’attrister et d’angoisser son cœur. 3) les rêves liés à ce qui a été suscité à l’Homme durant son éveil, durant son sommeil il rêve à ce qui a eu lieu durant son état d’éveil.
Troisièmement : L’éclaircissement concernant ce que doit faire le musulman lorsqu’il voit dans ses rêves ce qu’il aime, et cela se résume en quelques points : 1) Certes, le musulman doit éprouver une grande joie et se réjouir de son rêve pieux ou de celui qu’on a fait de lui, mais qu’il ne soit pas trompé (par celui-ci) : le rêve, comme l’ont dit certains prédécesseurs : «Il réjouit le croyant mais et ne le trompe pas.» 2) Qu’il loue Allâh عز وجل pour ce bien qu’Il lui a envoyé et le bienfait qu’Il lui a accordé par le fait qu’Il l’a honoré par ce rêve porteur d’une bonne nouvelle.
4) Qu’il n’en informe pas celui qu’il déteste, pour repousser le tord qu’il pourrait lui causer, ou l’envier, etc… Quatrièmement : Parmi les bénéfices que renferment les ahâdith précédents : L’éclaircissement de ce qu’il convient au musulman de faire lorsqu’il voit dans ses rêves ce qu’il déteste et cela se résume dans les points suivants : 1) Qu’il sache que cela est bien du Diable qui veut par cela attrister le croyant et lui causer des soucis, du chagrin et de la peur.
Et sans la connaissance de leur psychologie, impossible de rien comprendre à leurs tabous, à leurs observances rituelles, à leur thérapeutique, à leur notion de la mort et de la vie future, et enfin à leur confiance illimitée dans les passes de leurs bojâu (4) ou sorciers guérisseurs. Tout d’abord une remarque préliminaire s’impose. Chez les Pio^ngao, si tout songe est un rêve, tout rêve n’est pas un songe, tant s’en faut.
Ils distinguent en effet parfaitement le tau (2) « rêve », du hcrpu (3) « songe ». Le premier est un simple écho dans nos organes, pendant le sommeil, des actions que nous avons accomplies à l’état de veille. C’est quelque chose comme l’impression, le tintement prolongé, qui reste dans notre oreille après que nous avons entendu (1) Bojâu de xâu « voir » ; formé avec préfixe à labiale et changement de la dentale.
Comparer le cas de xôk « joyeux », dont on a fait bojôk « réjouir ».