Dirigeant qui fait rêver?
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Ceux qui ont choisi ce statut par défaut le font à cause des difficultés à trouver un emploi. 4 raisons de devenir freelance Le statut de freelance comporte de nombreux avantages qui séduisent les actifs français.
Le fait de pouvoir choisir son lieu de travail et manager sa carrière comme ils l’entendent est aussi un avantage qu’apprécient les travailleurs freelances. Un bilan positif pour le freelancing, mais pas de tout repos Deux tiers des indépendants qui ont choisi le freelancing affirment se sentir confiants sur leur avenir et leur carrière.
Le travailleur indépendant, puisqu’il est libre de choisir ses projets et ses tarifs, jouit d’une liberté totale, à condition que son portefeuille client le permette. Car devenir entrepreneur n’est pas non plus de tout repos, comme le rappelle un article Welcome to the Jungle.
« Xavier Niel estime le système français et ne tombe pas dans l’écueil ambiant estimant les charges trop élevées. Il agit, tente, ouvre une école, un incubateur… », justifie Aubin Vérot, dirigeant d’Eco Confiance Rénovation (Lyon 3e ), qui met aussi en avant Marc Simoncini, troisième de notre palmarès et fondateur de Meetic. « J’aime ces patrons disruptifs. »…et puis les autresAvec un tel plébiscite, Christophe Fargier et Xavier Niel n’ont pas de vrais challengers dans notre classement.
Sur le podium lyonnais, Olivier Ginon (2e ), le patron de GL Events (Lyon 2e ), a obtenu 36 % d’opinion positive, reflétant « sa réussite solide » et incarnant « le dirigeant à la lyonnaise ». Ex-aequo, Norbert Dentressangle et Sylvain Tillon obtiennent 30 %. Deux dirigeants, deux visions de l’entrepreneuriat, deux mondes différents mais qui montrent l’attrait des jeunes dirigeants autant pour la réussite à long terme que l’audace d’un jeune dirigeant.
La métamorphose que s’apprête à opérer l’entreprise passe par de nouveaux modes de management et de leadership, et cette mue ne peut qu’être portée par les directions générales et les leaders eux-mêmes.« Le dirigeant a une responsabilité à inspirer. Mais il convient aussi d’écouter les rêves des collaborateurs, de favoriser la responsabilisation, la prise d’initiative, l’intrapreneuriat… », souligne Patrick Ferraris.
Chez Capgemini Consulting, les collaborateurs, y compris les jeunes consultants, sont invités à faire part de leurs projets dont certains sont ensuite développés, et parfois même mis en place au sein de l’organisation à l’échelle monde. « Lorsque les individus sont épanouis, ils sont plus performants. Sachant que la performance ne peut plus s’évaluer d’un seul point de vue économique. C’est la pertinence globale qu’il faut viser », pointe Patrick Ferraris.
Rêver au sein de l’entreprise aurait donc de multiples vertus.
Le leader détient la clé ultime du rêve en entreprise : il a une responsabilité à inspirer et à faire rêver tous les échelons de la pyramide. C’est même peut-être sa mission principale. Pour 40% des répondants, le leader doit donner « la passion » à ses collaborateurs, avant même de donner une vision (35%), un champ d’action (16%) ou l’information (9 %).
Aspirationnel, il sait rêver et partager ses rêves à tous les échelons pour embarquer les collaborateurs qui à leur tour pourraient se prendre à rêver. Une nouvelle mission qui passe par un nouveau modèle de leadership. Ce leader pourvoyeur de rêves a trois principaux attributs : il/elle est accessible, à l’écoute et pluriel. Ce n’est plus un super héros sans faille : pour 55 % des répondants, c’est « quelqu’un auquel ils peuvent s’identifier ».
Face à la complexité du monde, le leadership se doit d’être partagé pour 80% des répondants : des mains qui se partagent le gouvernail et des mains qui tournent. Bref un leader collaboratif, humble, empathique… La Boîte à Rêves, c’est le constat que l’entreprise mute : après s’être dotée d’un cœur, elle se dote d’une âme.
Le patron d’une société de transport du Rhône veut réaliser le rêve d’un de ses 1100 employés.Il a lancé une loterie à laquelle tous vont participer.Un seul d’entre eux verra son vœu le plus cher exaucé.Et si mon entreprise réalisait mon rêve le plus fou ? C’est la question que se posent les 1100 salariés d’une société de transport basée à Saint-Priest (Rhône), que l’on découvre dans la vidéo du 20H de TF1 ci-dessus.
Pour fêter les 120 ans de son entreprise, le PDG a décidé de lancer une loterie pour exaucer le vœu d’un de ses employés. Celui-ci doit être formulé sur un papier, et déposé dans une urne qui se déplacera dans toutes les implantations du groupe.
Un seul gagnant, mais de quoi faire rêver tout le monde pendant quelque temps.
Jean-Alexandre Manchès, PDG de BMV »Il y a trop de choses, on n’a pas l’habitude de rêver », sourit un salarié en se demandant quel vœu lui-même va déposer.
Le prix à payer pour virer du jour au lendemain un cadre dirigeant (il peut être démis de ses fonctions par le conseil d’administration) et le soumettre à une clause de non concurrence. « Avant même d’arriver, le dirigeant sait donc qu’il disposera d’une assurance pour l’avenir et d’un complément de revenu intéressant pour voir venir en cas de licenciement… » déduit Jean-Marie Peretti.
Comme ce fut le cas pour Jean-Bernard Lévy, le PDG d’EDF, qui touchera, en plus de son salaire fixe annuel de 450 000 euros bruts, un parachute doré d’au moins 200 000 euros, selon Challenges.Les retraites chapeau Elles correspondent à un pourcentage fixe du salaire du cadre dirigeant, qu’il touchera une fois à la retraite chaque année de la part de l’entreprise dans laquelle il a terminé sa carrière.
Il s’agit d’un régime de retraite surcomplémentaire qui vient s’ajouter au régime de base des caisses de retraite et à la retraite complémentaire.