Entite qui communique dans rêves?
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Des études ont notamment montré que ces rêveurs étaient capables d’informer de leur lucidité et donc du début et de la fin d’une tâche prédéfinie réalisée en rêve (par exemple, retenir sa respiration), grâce à un code oculaire préalablement appris. Cette communication était cependant à sens unique, seul le rêveur étant à même d’envoyer un signal qu’il a conscience qu’il rêve.« L’idée d’une communication à double-sens pouvait paraître une ambition inatteignable. Comment communiquer avec quelqu’un d’endormi ?
Mais si nous montrions qu’elle était possible, de nouvelles pistes fascinantes s’ouvraient pour l’étude du rêve », explique Delphine Oudiette, chercheuse Inserm à l’Institut du cerveau (Inserm/AP-HP/Sorbonne université/CNRS).L’équipe a d’abord fait appel à un rêveur lucide très expérimenté pour essayer d’établir cette double communication. Les chercheurs ont utilisé différents types de stimulations, comme des questions ouvertes posées à voix haute : « est-ce que tu aimes ci ou ça ?
», des stimuli tactiles (tapotements sur la main à compter) ou encore des tâches de discrimination sémantiques (distinguer des mots simples comme « haut », « bas » …).
Donc, si vous êtes hypersensible, vous avez déjà un avantage sur les autres personnes pour capter les entités.Comment se manifestent les entités ?Si vous ressentez des courants froids se déplacer autour de vous, si vous avez l’impression d’être épié ou de ressentir le regard d’une personne dans votre dos, il y a de fortes chances qu’une entité se trouve dans votre demeure.Si les lumières s’allument toutes seules ou si les ampoules claquent régulièrement, là aussi c’est un signe de hantise.
Tout comme si la radio ou la télévision se mettent en route et s’éteignent toutes seules… Mais ce n’est pas tout. Vous pouvez également sentir de fortes odeurs de fleurs ou de parfum se propageant dans différentes pièces de votre habitation (à ne pas confondre avec la fantosmie, symptôme du Covid19 NDLR).
Ces derniers peuvent se manifester dans des rêves lorsque nous sommes endormis ou même dans des visions lorsque que nous sommes éveillés mais inconscients. Dans les deux cas, un rêve ou une vision sont des moyens de communication difficiles à déclencher, qui échappe à notre contrôle et le plus souvent à notre consentement.
Une fois le contact établi avec l’esprit, il suffira de lui poser des questions pour que celui-ci puisse y répondre par le déplacement de cette “goutte” sur la table en question. Sur cette table figurent le plus souvent les lettres de l’alphabet ainsi que les mots “oui” et “non” afin que l’esprit puisse s’exprimer de façon claire et précise. Les pendules Vous pouvez également tenter de consulter les esprits en utilisant un pendule.
Il suffit de le tenir à la verticale et de définir un code à utiliser pour que l’esprit puisse répondre à vos questions. Par exemple, il peut s’agir d’un mouvement d’avant en arrière pour signifier “oui” et d’un mouvement de droite à gauche pour signifier “non”. Les messages obtenus par cette technique sont de fait moins détaillés et précis que ce ceux obtenus à l’aide d’une planche de spiritisme puisqu’il n’y a ici pas d’alphabet…
A vous de trouver les bonnes questions pour que l’esprit puisse s’exprimer en toute sincérité ! L’interaction Pour communiquer avec les esprits, vous pouvez également miser sur une pratique plus directe, sans intermédiaire ni outils.
Ce qui est confirmé par les données recuillies sur le terrain et par tous les dictionnaires contemporains (Apaza 1984 ; De Lucca 1983, etc.). Sur le sonqo en quechua, voir Dedenbach-Salazar Saenz 1978, Charlier-Zineddine 2011. Il en va de même des pratiques divinatoires (Rivière 2002), des performances musicales (Martínez 1996), etc.
Je reprends ici en partie la typologie proposée par P. Descola (1993) à propos des activités oniriques chez les Ashuar, appropriée pour distinguer les rêves chez les Aymaras et sans doute dans d’autres sociétés amérindiennes. Et dans une moindre mesure le rêve diurne, qui n’est pas autant valorisé et qui fait plus rarement l’objet de commentaires socialisés.
Bertonio fait la différence entre le fait de dormir (« sueño, obra del dormido » : iki) et de rêver (« sueño soñado » : samka) (Bertonio 1612, I : 439), et entre rêve « passif » et rêve associé à une visite, un dialogue : « samka: sueño que ve el que duerme » ; « samkaña: soñar » ; « samkachaña: aparecer en sueños o decir algo en sueños » (1612, II : 307).
Plusieurs auteurs ont bien montré que ces opérations sont communes aux rêves et aux mythes. Ceux-ci présentant toutefois une organisation interne et un champ sémantique beaucoup plus vaste (Mannheim 1991 ; Perrin 1990, 1992, 1994 ; Descola 1993). Parmi plusieurs dizaines recensées au cours des enquêtes sur le terrain (cf.