Entreprise qui realise les rêves?
Share
Please briefly explain why you feel this question should be reported.
Please briefly explain why you feel this answer should be reported.
Please briefly explain why you feel this user should be reported.
Ça veut dire que je suis un peu en avance ou en décalage par rapport aux autres », s’amuse Jean-Alexandre Manchès. Si certains, « peu habitués à rêver », planchent encore sur ce qu’ils vont inscrire sur le bout de papier, d’autres ont déjà des idées bien précises. « Partir en voyage au Japon ou en Australie », « solder [son] crédit immobilier », « avoir une maison »… Ce dernier étant le vœu le plus souvent formulé par les employés interrogés par TF1.
À LIRE AUSSI La villa d’un narcotrafiquant à gagner à la loterie nationale mexicaine Pendant un mois, un camion transportant la fameuse urne va sillonner la France et l’Allemagne où sont implantées toutes les agences de l’entreprise, pour récolter les 1.100 souhaits des salariés. À la fin, un seul gagnant. En attendant, tous les souhaits sont permis pour les employés de cette entreprise rhodanienne dont le patron martèle que réaliser ses rêves est « la raison de vivre ».
À LIRE AUSSI Recrutement : la (très) jolie somme offerte par un cabinet en échange de votre CV
À un peu plus d’un mois des fêtes de fin d’année, une salariée du groupe de transport routier BMV vient de voir son rêve se réaliser. Son père Noël n’est autre que son patron. Comme le raconte Le Progrès, ce dernier avait lancé il y a quelques semaines une grande loterie pour les 120 ans de la société, basée à Saint-Priest (Rhône). Objectif : réaliser le rêve de l’un de ses employés.
Un camion transportant une « boîte à rêves » a donc sillonné les 22 sites du groupe, afin que les 1.100 salariés puissent y déposer leur souhait.Et mercredi 16 novembre, le nom de la grande gagnante a été révélé. Il s’agit de Christel, 58 ans, qui s’apprête à fêter, en février 2023, ses 20 ans au sein de l’entreprise.
Pour l’occasion, le président du Pierre-Alexandre Manchès et le directeur général délégué Christophe Thiebaud-Girard ont fait le déplacement à Saint-Marcel, en Saône-et-Loire, sur le site où l’heureuse élue travaille, pour lui annoncer la grande nouvelle.
Ce résultat est une belle victoire pour le fabricant de pneumatique qui rencontre depuis toujours des difficultés à recruter à cause de la localisation géographique de ses sites industriels (Clermont-Ferrand) ainsi que de son activité, peu attractive pour certains. L’entreprise, aux valeurs humaines et à l’esprit familial, responsabilise ses salariés en leur proposant un climat de confiance et de bienveillance. «Ces valeurs reprennent beaucoup de sens dans un monde chahuté», souligne la porte-parole.
Les collaborateurs disposent d’une marge de manœuvre suffisante pour mettre en œuvre leurs idées. «Ils ont la possibilité de construire le poste que nous leur confions à leur image. Chacun peut apporter sa petite touche personnelle», ajoute Sophie De Villepin. Dès le recrutement, les Ressources Humaines s’assurent que les valeurs des nouvelles recrues coïncident avec celles de l’entreprise. «Nous essayons d’être authentiques, c’est cela qui fait notre différence.
Le bruit de la machine à café berce les couloirs du rez-de-chaussée du site du groupe de transport routier BMV, à Saint-Marcel, ce mercredi aux alentours de 16 h 45.
Une ambiance d’entreprise des plus banales, qui tranche pourtant avec ce qu’il se trame à l’étage…« C’est un coup de massue agréable »Des applaudissements viennent vite rompre ce silence de cathédrale et l’information commence à circuler : Christel, une salariée de 58 ans, vient d’apprendre qu’elle a gagné une maison. Larmes aux yeux, sourire jusqu’aux oreilles et démarche chancelante, la Chalonnaise, presque deux décennies de boîte au compteur, n’en revient pas.
Son entreprise, BMV, basée à Saint-Priest, en bonne santé économique, vient de réaliser son rêve : devenir propriétaire. Dans le cadre des 120 ans du groupe, les dirigeants avaient eu une idée folle : exaucer le souhait d’un de ses 1 100 salariés.Comment ? En faisant passer des “boîtes à rêves” dans les 22 sites du groupe, acheminées par un camion floqué pour…
Une prime exceptionnelle n’est pas le moyen le plus efficace pour récompenser un salarié qui s’est distingué, soutient Com Un Rêve. La start-up croit en une méthode originale qui stimulera bien plus son investissement: réaliser son vœu le plus cher.Un patron ne veut pas payer ses salariés à rêver. En revanche, il peut réaliser les rêves de ses meilleurs collaborateurs.
La start-up Com Un Rêve propose ses services pour que le rêve devienne une méthode de management en entreprise. « C’est un excellent moyen pour que les dirigeants puissent valoriser leurs meilleurs éléments mais aussi fédérer une équipe », explique Rana Badarani, fondatrice de Com Un Rêve.
Celle qui se présente comme une « Dream Planner » assure que sa méthode est bien plus efficace qu’une récompense matérielle, comme le versement d’une prime exceptionnelle, dont les effets sur la motivation sont bien plus fugaces. »J’ai moi-même réalisé mon rêve.
La société de transport routier BMV a décidé de célébrer ses 120 ans d’une manière que ses employés apprécieront… L’entreprise basée à Saint-Priest va réaliser le rêve d’un de ses collaborateurs !Pas de budget fixéPrécision pas anodine : aucune règle n’est annoncée dans l’encadrement de ces souhaits.« Même si cela paraît assez fou, il n’y a pas de budget fixé et je sais que la promesse de notre directeur sera tenue avec sérieux », confirme Christophe Alex, directeur adjoint des agences de Saint-Priest et Saint-Étienne depuis dix ans.
Lui-même déposera le vœu de « profiter d’une croisière autour du monde ».« On trouvera les contacts d’Elon Musk »Tous les employés – cadres ou non – sont invités à participer. Soit environ 1 100 personnes. Si certains pensent d’abord à demander une prime ou un nouvel équipement, la plupart aspire vite à plus grand. Achat d’une maison ou d’une voiture, don à une association, voyage… rien n’est exclu.« Il semble difficile de pouvoir envoyer quelqu’un sur la…
Le patron d’une société de transport du Rhône veut réaliser le rêve d’un de ses 1100 employés.Il a lancé une loterie à laquelle tous vont participer.Un seul d’entre eux verra son vœu le plus cher exaucé.Et si mon entreprise réalisait mon rêve le plus fou ? C’est la question que se posent les 1100 salariés d’une société de transport basée à Saint-Priest (Rhône), que l’on découvre dans la vidéo du 20H de TF1 ci-dessus.
Pour fêter les 120 ans de son entreprise, le PDG a décidé de lancer une loterie pour exaucer le vœu d’un de ses employés. Celui-ci doit être formulé sur un papier, et déposé dans une urne qui se déplacera dans toutes les implantations du groupe.
Un seul gagnant, mais de quoi faire rêver tout le monde pendant quelque temps.
Jean-Alexandre Manchès, PDG de BMV »Il y a trop de choses, on n’a pas l’habitude de rêver », sourit un salarié en se demandant quel vœu lui-même va déposer.
« Nous avons eu cette idée parce que dans la matérialisation du rêve, il y avait une logique pour nous qui est : Prenons du temps pour prendre soin de nous. L’entreprise est en bonne santé, donc allons au bout du rêve », confie Jean-Alexandre Manchès, le PDG du groupe BMV.Aucun budget maximum n’a été fixé « pour que des rêves authentiques s’expriment. S’il y avait une limite, alors on ne rêverait plus », assure-t-il.
Le souhait qui sera exaucé devra tout de même être réalisable. « Si quelqu’un demande de mettre un terme à la faim dans le monde ou à certaines maladies, on serait ravi d’y œuvrer, mais on ne pourra pas le faire », poursuit le PDG.Le tirage au sort sera organisé fin octobre.
Pour tous ceux qui n’auront pas la chance de gagner, le patron assure que leurs rêves seront toutefois pris en compte : « Ça sera de bonnes pistes d’orientation pour faire évoluer l’entreprise. »