Exemples de personnes qui ont fait leur rêve américain?
Share
Please briefly explain why you feel this question should be reported.
Please briefly explain why you feel this answer should be reported.
Please briefly explain why you feel this user should be reported.
Enfant d’immigrés, Kamala Harris porte haut le rêve américain. Sa mère, venue d’Inde à l’âge de 19 ans, passa un doctorat d’endocrinologie et se consacra à la recherche sur le cancer du sein, tout en militant pour les minorités. Son père, né en Jamaïque, devient docteur en économie puis professeur à l’université Stanford, près de San Francisco (Californie).
Les enfants d’immigrés, qui ont vu combien leurs parents en ont bavé pour s’intégrer, connaissent parfois de brillantes réussites aux États-Unis. La vice-présidente élue est de cette trempe-là. Son prénom (qui signifie « lotus », en sanskrit) a beau être celui d’une déesse hindoue, elle se vit comme Noire. Sa mère le voulait, qui pensait qu’aux États-Unis, ses deux filles seraient vues ainsi.
« Je suis noire et fière de l’être, a pro… JIM WATSON/AFP – Kamala Harris Instagram – USA Today Network/Sipa USA/SIPA – Source Biden for President – SCOTT MCINTYRE/NYT-REDUX-REA – Twitter
Les entreprises américaines proposent globalement de très bons salaires comparés à la France; en revanche vous n’y aurez que deux semaines de vacances par an.
Pas mal d’entreprises proposent des semaines supplémentaires en fonction de votre ancienneté, ainsi la plupart des Américains attendent souvent 30 voire 40 ans passés avant d’effectuer de longs voyages pour leurs vacances, visiter d’autres régions du monde.
Concernant le travail même, j’ai apprécié un management très proche du terrain, et très concret. Il y a une vraie culture du résultat au travail. Lorsque vous avez une target, un objectif, il faut l’atteindre! Et si ce n’est pas le cas, votre backup a intérêt à être solide, pas d’excuses. Ils sont également très hardworking, ils n’ont pas peur de faire des heures, le travail doit être fait.
Pour les besoins du tournage, cette éternelle nomade du tournage a posé ses valises à Los Angeles, troquant le ciel pluvieux du printemps parisien contre le bleu cobalt de celui de Californie. « Mais Paris me manque trop, avoue-t-elle. Même si, avec mon compagnon, on vit dans une ferme hors de la ville, entourée de paysages magnifiques, et qu’on fait pas mal de randonnée.
On a une Vespa pour aller à la plage et faire des virées dans la nature » L’égérie Chanel est une fidèle de la grande maisonContrairement à Omar Sy ou à Johnny Hallyday, qui y sont installés à plein temps, Diane ne considère L.A. que comme une parenthèse américaine. En revanche, l’égérie Chanel est une fidèle de la grande maison depuis l’âge de 16 ans.
Depuis que Karl Lagerfeld, fin limier devant l’Eternel, a craqué pour son blond vénitien, ses pommettes structurantes, ses yeux de siamois, et, surtout, cette arête du nez si parfaite qui lui donne une allure aristocratique. Elle vient d’ailleurs de tourner un clip sublime sous la direction de Peter Lindbergh pour le lancement d’une nouvelle ligne de soins Chanel (Le Jour, La Nuit et Le Week-end).
») Ses coéquipiers savaient qu’il était français, et acteur, mais ça ne signifiait pas grand-chose à leurs yeux – tout le monde ou presque est acteur à Los Angeles, ou rêve de le devenir, ou l’a été un jour. Il s’est acheté une Harley Davidson Street Glide, et s’est mis à traîner du côté du magasin de motos dans l’espoir de rencontrer d’autres passionnés.
Mais il s’est vite rendu compte qu’il ne parlait pas assez bien l’anglais pour entamer la conversation. Omar continue les exercices de prononciation : « I’m from France. I’m from California. »À ses proches restés en France, il décrivait sa vie à Los Angeles comme une « vie à la carte ». Il a découvert qu’il y était maître de son destin.
Il pouvait choisir de passer la journée à courir les auditions, de rendez-vous en rendez-vous, ou décider de faire un jogging sur la plage ou une randonnée dans la montagne, ou encore rester au lit : tout le monde s’en foutait. L’exact opposé de Paris, en somme, où chaque minute de son temps était planifiée, où on réclamait constamment son attention. Plus ça allait, et moins il avait envie de rentrer en France.