Film curieux rêve qui bouge?
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Suppléments :MEMOIRES INCERTAINES un film de Michale BoganimUn entretien entre Michale Boganim et Jean Louis Moscovitz (psychanaliste)Un livret de photos tirées des repérages, présentées sous la forme d’un album souvenir.
CE VIEUX REVE QUI BOUGEAlain GuiraudieFrance, 2007fictionDepuis maintenant 10 ans, avec trois courts-métrages, deux moyens-métrages et deux longs-métrages, Alain Guiraudie a construit un univers allant de la pure invention à la reconstruction symbolique du monde dans lequel nous vivions.« DU SOLEIL POUR LES GUEUX » et « CE VIEUX REVE QUI BOUGE », deux moyens-métrages sortis en salles en 2001, et inédits à ce jour en vidéo, sont fondateurs du cinéma d’Alain Guiraudie.C’est avec « DU SOLEIL POUR LES GUEUX » que la critique découvre avec ravissement le cinéma atypique d’Alain Guiraudie, quelque part entre le western moderne, le récit picaresque et le conte philosophique.Tandis qu’à la Quinzaine des Réalisateurs « CE VIEUX REVE QUI BOUGE », lauréat du Prix Jean-Vigo, est considéré par Jean-Luc Godard comme le « meilleur film du festival de Cannes ».Cinéma, politique, poésie, bande dessinée, musique, couleurs, lexique, champs, usine, errance, sédentarité, désir amoureux, sexe… Son cinéma foisonne de questions, et de réponses jamais complètement à côté mais jamais complètement sérieuses.Au final un désir physique de cinéma qui se révèle très rapidement être hautement contagieux.
Suppléments :« TOUT DROIT JUSQU’AU MATIN » un film d’Alain Guiraudie« APRES LA LUTTE » un film de Chloé ScialomLe scénario de « CE VIEUX REVE QUI BOUGE » DU SOLEIL POUR LES GUEUXAlain GuiraudieFrance, 2007fictionDepuis maintenant 10 ans, avec trois courts-métrages, deux moyens-métrages et deux longs-métrages, Alain Guiraudie a construit un univers allant de la pure invention à la reconstruction symbolique du monde dans lequel nous vivions.« DU SOLEIL POUR LES GUEUX» et « CE VIEUX REVE QUI BOUGE », deux moyens-métrages sortis en salles en 2001, et inédits à ce jour en vidéo, sont fondateurs du cinéma d’Alain Guiraudie.C’est avec « DU SOLEIL POUR LES GUEUX » que la critique découvre avec ravissement le cinéma atypique d’Alain Guiraudie, quelque part entre le western moderne, le récit picaresque et le conte philosophique.Tandis qu’à la Quinzaine des Réalisateurs « CE VIEUX REVE QUI BOUGE », lauréat du Prix Jean-Vigo, est considéré par Jean-Luc Godard comme le « meilleur film du festival de Cannes ».Cinéma, politique, poésie, bande dessinée, musique, couleurs, lexique, champs, usine, errance, sédentarité, désir amoureux, sexe… Son cinéma foisonne de questions, et de réponses jamais complètement à côté mais jamais complètement sérieuses.Au final un désir physique de cinéma qui se révèle très rapidement être hautement contagieux.
On le voit même dire, ô sacrilège (aucun hétéro n’aurait le droit de dire ça), que peut-être parce que tous les hommes veulent une femme, des enfants et fonder une famille que ce n’est peut-être pas si mal.Et on voit en fait tout ce que découvre un homosexuel lorsqu’il s’entiche d’une femme, le fait qu’elle peut tomber enceinte, qu’elle va refuser la sodomie… Et le film finalement semble se conclure dans beau bordel généralisé aussi décadent que réjouissant où l’on peut tirer un enseignement d’un vieux de 70 ans qui ne veut pas jouir, parce que tant qu’il ne jouit pas, il peut continuer à aimer…
Si ça ce n’est pas beau ?
The Living Gods of Haiti (1953)13.
Une relation qui prend pour base la possession considérée comme épiphanie du divin, l’avènement de l’esprit dans la matière, c’est-à-dire la manifestation des dieux vivants à travers le corps du possédé.14 Grâce à un financement de la Fondation Guggenheim, la réalisatrice s’était rendue à Haïti pour filmer les danses cérémonielles caribéennes.
Avant ce premier voyage, en 1947, elle avait déjà réalisé quatre courts-métrages en 16mm (en noir et blanc et sans bande-son) où le corps en mouvement est exploré selon des modalités inédites15.
13Dans le premier court-métrage – Meshes of the Afternoon, déjà évoqué-l’atmosphère onirique pénétrante est produite par un voyage visuel hypnotique qui atténue progressivement les frontières entre réalité et imaginaire, tout en transformant les corps et la « vitalité perverse des objets inanimés » en des présences séduisantes et troublantes.
” — tomsias 2 mars 2013 Ajouter à la liste 47 mos3n Sa note : “ ‘Ce vieux rêve qui bouge’ de l’ouvrier/usine en fin de vie, où A.Guiraudie filme la déconstruction de sa machine/part d’humanité. ProloPride ” — mos3n 23 mai 2013 +8 Ajouter à la liste 48 1h25 AbusDeCine Sa note : “ Tout finit ici par être très répétitif et mystérieux, le sens devenant de plus en plus opaque. Encore un film prétentieusement ésotérique ?
” — AbusDeCine 8 août 2016 Ajouter à la liste 49 1h25 K_Sania Sa note : “ Cinéma de petites poses maladroites et préfabriquées, forcément inspiratrices d’émotions dérisoires.
” — K_Sania 29 mai 2020 +5 Ajouter à la liste 50 1h54 Synopsis : Marc est né il y a 23 ans des amours de Farid Daoudi — un chanteur disparu des années 80, auteur de la chanson Quand je serai star — et de Diane de Montalte, une actrice parisienne. Marc a abandonné ses études pour devenir steward : sa manière de se rebeller contre la civilisation de sa mère.
Une thématique abordée sous tous les angles, toutes les formes et toutes les coutures, à travers une vaste sélection de films issus de différents genres, périodes et nationalités. Parmi les œuvres les plus fédératrices, on citera ainsi Rosetta des frères Dardenne, palme d’or au festival de Cannes en 1999, le très beau Tomboy de Céline Sciamma, ou encore, plus inattendu, le classique des vidéoclubs La Revanche d’une blonde de Robert Luketic, avec une Reese Witherspoon étincelante.
Et à l’autre bout du spectre, quelques chefs-d’œuvre extrêmement rares qui feront le bonheur des plus curieux, comme Soleil Ô de Med Hondo, Personnalité réduite de toutes parts de Helke Sander, ou encore le double programme du jeudi 12 octobre, qui regroupera les moyens-métrages Classe de lutte du Groupe Medvedkine de Besançon et Ce vieux rêve qui bouge d’Alain Guiraudie. On a déjà hâte d’y être !Cinémathèque de Grenoble programmation détaillée de la saison sur http://www.cinemathequedegrenoble.fr
» Aguerri aux plateaux de cinéma par son père, qui le fit jouer dès l’âge de 3 ans dans son polar Le Grand Pardon, Aja possède, selon ses proches, trois qualités cruciales pour durer à Hollywood : le 7e art l’obsède, la technique le passionne, l’ardeur au travail et les difficultés le stimulent.« C’est un pitbull, il ne lâche rien »Sa détermination à faire du cinéma fut précoce : « Bébé, il avait déjà un air tellement sérieux et concentré qu’on l’appelait le président », se souvient sa maman, Marie-Jo Jouan, ex-reporter pour France 2.
« Quand il avait 2 ans, Alexandre et moi l’avons emmené voir Tusk d’Alejandro Jodorowsky, au Kinopanorama (prestigieuse salle de cinéma parisienne, fermée en 2002, NDLR). Au générique de fin, alors que tout le monde était parti, il a insisté pour rester jusqu’à ce que le rideau se baisse. Il était déjà complètement fasciné et accro.
J’ai passé un savon au vidéoclub, mais bon, ce fut probablement un tournant pour Alexandre », se souvient Marie-Jo, non sans une pincée de culpabilité. Elève en 6e au collège/lycée Montaigne, Aja dévore déjà les magazines Mad Movies et L’Ecran Fantastique. Signe annonciateur, c’est un film de Wes Craven en couverture de L’Ecran… (Shocker, sorti en 1987) qui suscite une conversation puis une amitié durable entre Gregory Levasseur, son futur scénariste associé, et lui.