Film histoire 4 adolescents qui réalisent leur rêve luc besson?
Share
Please briefly explain why you feel this question should be reported.
Please briefly explain why you feel this answer should be reported.
Please briefly explain why you feel this user should be reported.
Quand on sait qu’il est en tandem avec une fille sa la fous mal côté respect de la femme dans ce film, surtout aussi côté respect de la BD originale qui s’appelle bien « Valérian et Laureline »Conclusion: Si vous avez 15 ans ou moins sa vous posera pas de problème, pour les autres qui attendaient un vrai film mature, passez votre chemin. A l’attention de Luc Besson: Le cinéma n’est pas réservé uniquement aux adolescent. Quel potentiel, quel gâchis.
Je n’y suis pas du tout allez pour l’histoire vu que je ne connais pas la BD, et ainsi je me suis dis que je ne pourrais être déçu… et je n’ai effectivement pas été déçu !Les effets spéciaux sont partout et tout le temps présents : c’est une explosion de formes, de créatures, de couleurs du début à la fin ! Avec des idées bien trouvées comme ce bazar situé dans une dimension parallèle.
Et il est difficile de dire où commence l’image de synthèse et où fini le décors et les costumes de cinéma. En fait c’est un peut comme si Luc Besson c’était encore plus défoulé que dans le Cinquième élément : ici c’est une station planétaire peuplée d’une multitude de créatures et les effets spéciaux sont savamment utilisés.
Le deuxième tiers manque cruellement de rythme, accumulant les séquences “je te sauve moi non plus” sans faire avancer l’intrigue principale. Besson aurait clairement pu couper 15 à 20 minutes pour conserver la tension et l’émerveillement des premières scènes. Le casting des seconds rôles est inégal (Clive Owen fait le minimum syndical). Et la gestion des moments “dramatiques” est parfois approximative. On oublie pourtant rapidement ces faiblesses face à la créativité de tout le reste.
Car Besson a réussi son pari de donner vie à un univers extra-terrestre complexe, avec ses espèces, ses langues, son bestiaire, ses règles physiques, ses bizarreries et sa mythologie. Ce joyeux bordel de couleurs et de formes donne lieu à des séquences magiques. Une introduction sur Space Oddity de Bowie où plusieurs siècles de diplomatie intergalactique sont résumés en quelques minutes.
La découverte d’Alpha et de ses différentes sections, accueillant des espèces radicalement différentes mais complémentaires qui travaillent ensemble au bien-être de la cité. L’improbable centre commercial géant situé dans une réalité parallèle squattée par des touristes nouveaux riches grégaires. La planète à la “Love Profusion” des Müls, étonnante communauté hippie / new-âge vivant en communion avec la nature grâce à une source d’énergie inépuisable.
1991 – Atlantis : réalisation Drame – Opéra sous-marin / France, Italie / Réalisé par Luc Besson Atlantis, c’est le rêve d’un homme devenu poisson, c’est sa ville, c’est la vie sous l’eau sans l’homme, c’est un rêve d’enfant. Un film sans paroles. Musique Eric Serra.
1988 – Le Grand Bleu (version longue) : réalisation, scénario Action / Aventure / France, Etats-Unis, Italie / Réalisé par Luc Besson Deux jeunes gens, amis d’enfance enivrés par les grands fonds marins, plongent de plus en plus loin, en apnée, à l’occasion de rencontres internationales.
1987 – Le Grand bleu : réalisation, scénario, scénario Comédie dramatique / France / Réalisé par Luc Besson L’aventure de deux apnéistes qui descendent à plus de cent mètres de fond avec une seule goulée d’air. Une histoire d’amour avec la mer. (Existe également une version réduite : 2h16).
1986 – Kamikaze : scénario Thriller – Policier / France / Réalisé par Didier Grousset Un génie de l’électronique décide de se servir de ses inventions pour éliminer tous ceux qui polluent son univers… Pour contrecarrer son projet, un as de la criminelle qui marche à l’intuition. 1984 – Subway : scénario, réalisation Thriller – Policier / France / Réalisé par Luc Besson Un maître-chanteur amoureux de sa victime nous promène dans la faune interlope du métro parisien.
Par le réalisateur du « Dernier combat » 1982 – Le Dernier combat : scénario, réalisation Science-fiction / France / Réalisé par Luc Besson Les quatre survivants d’un cataclysme universel se croisent et se combattent pour essayer de survivre. Un film sans dialogues.
Le public réserva un accueil formidable au « Bleu » les adolescents, surtout, qui plongèrent dans ce film-refuge , avec près de dix millions d ́entrées dans notre pays, un véritable phénomène de société.Pour fêter cet anniversaire, la Gaumont ressort aujourd ́hui le film dans 45 salles en France (deux à Paris, le Grand Rex et Gaumont Italie). L ́occasion de revenir sur l ́histoire de la rencontre Jean Reno-Luc Besson.Une grande amitié Nous sommes en 1981.
Jean Reno a trente-neuf ans. Il a pas mal galéré. On lui a souvent fermé la porte au nez. Malgré des apparitions au théâtre et à la télévision, cet enfant d ́un quartier modeste de Casablanca, où il est né, continue de ramer pour s ́imposer. Un jour de 1981, il se présente au casting des « Bidasses en grandes manoeuvres », un film de Raphaël Delpard. Luc Besson, 23 ans, travaille comme premier assistant.
Il le remarque : Jean le fait rire.Pour eux, c ́est le début d ́une grande amitié qui va déboucher successivement sur « le Dernier Combat » (1982) et « Subway » (1985), films réalisés par Besson et dans lesquels Reno joue.
Si Besson n’a pas que des amis – « Il a été très rude avec beaucoup de gens, donc il le paie », lâche un ancien proche –, personne ne dit ouvertement du mal de lui : « Le cinéma français, c’est un tout petit milieu et il ne faut jamais dire jamais … »L’avenir du réalisateur aux Etats-Unis, en revanche, s’annonce incertain.
On peut survivre à l’un, mais aux deux, c’est compliqué… » S’il veut refaire un blockbuster américain, Luc Besson devra relever plusieurs défis : trouver des stars US de l’envergure de Scarlett Johansson dans « Lucy » pour ses futurs projets – mission difficile sinon impossible à cause des affaires de mœurs, très médiatisées dans la presse américaine – et regagner la confiance d’un distributeur prêt à mettre gros sur le lancement du film.Jordan Mintzer souligne un autre obstacle, d’ordre artistique : « Je ne suis pas sûr que le cinéma de Besson soit en phase avec la réalité actuelle aux USA.
Aujourd’hui, si on n’a pas un Marvel ou une franchise, c’est très risqué de faire un film à gros budget. Disney n’investit quasiment que dans des contenus déjà connus.