Film nouvelles technologies expérience réalité ou rêve femme qui l’attaque?
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Pour mon premier Spike Jonze je m’attaque à Her, un film qui de part sa bande annonce, son casting et son synopsis m’avait beaucoup voire énormément intrigué. »Un film où le mec tombe amoureux de son téléphone !
A partir d’une analyse de vos rêves, Oniric en créé de nouveaux à l’aide d’un logiciel 3DVR et vous les induit dans votre inconscient via la technologie psi-port.
Dans le rêve, les pixels cessent de se brouiller et l’image de la femme redevient peu à peu lisible. Elle a cependant un aspect étrange, différent. Dans le cabinet, la patiente ouvre les yeux. Elle sourit au jeune homme. Un glitch altère soudain l’image. Dans la forêt, la femme s’éloigne à travers les arbres.
Festival de Braunschwieg (Allemagne) Préachat de France 2, TPS, aide nouvelles technologies du CNC Diffusion France2, TPS, Cinestar 2005 : Mon âme, autoproduit. 1997-98: Labyrinthe, Béta SP, 24 mn, Femis, Ex Machina.
Pour nous, cette alternative est fallacieuse et la question de Morel peut-être assez mal posée. Car après tout, nous ne sommes ni dans la réalité, ni dans un rêve. Nous sommes au cinéma, art fantasmagorique10 par définition, dispositif élaboré visant à imprimer sur un écran devant nos yeux une réalité fictionnelle durant un certain temps, soit ici cent cinquante-neuf minutes, ce qui correspond mutatis mutandis au temps qu’il faut pour lire le texte de Schnitzler.
Tandis que nous regardons ce film, ou que nous lisons le texte, nous ne dormons pas et donc nous ne rêvons pas non plus. Si la salle est suffisamment obscure et les conditions suffisamment bonnes, nous sortons également de notre quotidienne « réalité ». Nous ouvrons grands les yeux. Tout va bien. Nous sommes parfaitement réveillés.
13 Récit à la première personne du jeune narrateur anonyme qui se retrouve pris dans une nuit étourdis (…) 19« Les désirs se reproduisent par leurs images », écrivait en 1777 Dominique Vivant-Denon dans son récit court – une nouvelle avant l’heure ? – à la fois libertin et onirique Point de Lendemain,12 qui servit d’hypotexte au film de Louis Malle Les amants de 1958 avec Jeanne Moreau et Jean-Marc Bory.
Pour réaliser le film, Nolan dit s’être inspiré des expériences de rêves lucides qu’il a vécu pendant son adolescence : il était conscient qu’il rêvait. Depuis l’Antiquité grecque, le rêve lucide apparaît dans plusieurs traditions lyriques. Mais ce concept n’est pas complètement admis par la communauté scientifique. « Quand on rêve, on a le sentiment d’être agent, de pouvoir agir sur son rêve, d’intervenir, répondre ou pas, fuir, etc. On exprime une certaine volonté.
Néanmoins, on n’a pas la conscience de la conscience. On n’a pas ce deuxième niveau de conscience où on se dit que ce qui nous arrive est étrange et que ça pourrait relever d’autre chose que la réalité, explique le neurologue. Pendant le sommeil, il y a des régions du cerveau qui sont plus ou moins en train de dormir, dont le cortex préfrontal médian qui est responsable de notre esprit critique, de nos doutes.
C’est une espèce de filtre de la réalité, qui détecte ce qui est normal ou pas.
Ce film pose des questions philosophiques sur la nature de la réalité.34) Galaxy Quest (1999, de Dean Parisot)Après que la série Galaxy Quest se soit arrêtée, les acteurs n’arrivent pas à se détacher de leur rôle et enchaînent les petits boulots. Un jour, les Thermiens captent la série et pensent qu’il s’agit d’archives qui parlent de l’histoire de la Terre.
Ils contactent les acteurs pour leur venir en aide contre un maléfique chef de guerre.35) Primer (2004, de Shane Carruth)Un groupe de quatre informaticiens découvrent par hasard une application inattendue d’une machine capable de réduire la masse des objets. Ils peuvent revenir dans un passé proche.
Mais les choses dérapent quand ils pensent l’utiliser pour anticiper les cours de la bourse et tirer profit de leur découverte.36) Les Indestructibles (2004, de Brad Bird)Sans doute le meilleur film de Pixar.
Il appelle le Dr Mierzwiak pour qu’il puisse effacer tout ce qu’il avait dans sa mémoire au sujet de Clémentine …38) Serenity (2006, de Joss Whedon)En 2517, le capitaine et le second du Serenity, vétérans de la guerre d’Unification vont devoir faire face à la présence d’une passagère télépathe qui détient un secret dangereux et qui va perturber leurs vies.39) Les Fils de l’homme (2006, d’Alfonso Cuarón)Dans une société futuriste, les hommes ne réussissent plus à se reproduire.
Mais un jour, une femme tombe enceinte, fait exceptionnel car cela fait plus de vingt ans que ça ne s’est pas produit. Elle devient la femme la plus enviée et la plus recherchée sur Terre.
10Cette situation, qui n’est vraiment apparue que depuis une dizaine d’années, suscite aujourd’hui des types de discours critiques sur le cinéma fort variés. En d’autres termes, le fait que « les nouvelles technologies envahissent le cinéma d’aujourd’hui » s’est allié avec des ensembles différents de dispositions socialement répandues, avec des formes d’esprit objectif, qui nous font voir le cinéma de manière souvent antagoniste ; en tout cas ils en composent des images distinctes.
11Au début du siècle, Méliès présente un cinéma de la prestidigitation, qui met en valeur les trucages rendus possibles par la technique cinématographique : le spectateur sait que le spectacle repose sur des procédés analogues à ceux utilisés par les magiciens de théâtre, au moins dans leur esprit, tout en ignorant la nature de ces procédés.
Comme le montre Jean-Marc Leveratto, la technologie cinématographique est ici mise en avant aux dépens de la fameuse « impression de réalité » 10 : on préfère montrer le cinéma plutôt que la réalité, des effets de machine plutôt que des effets de réel.
Le spectateur n’en retire pas un « plaisir pur du corps dégagé du besoin » 11, mais un plaisir de la surprise : il est encouragé à apprécier la beauté d’un truc tout en se demandant comment il est produit. 12Les cinéastes soviétiques des années vingt affirment la prééminence du montage comme l’opération primordiale du cinéma.
Mais aujourd’hui, avec le recul, sans vouloir parler de destin, je ne peux m’empêcher de penser que cela avait du sens que ce film fût mon premier. Il m’a révélé mon chemin, sans qu’à l’époque je le considère du tout ainsi. » Elle garde du chanteur-poète-cinéaste le souvenir d’une forte humanité et d’une grande simplicité d’artiste.
Petit diamant En 1994, Elodie Bouchez devient célèbre avec un petit diamant qui va ravager le Festival de Cannes : Les Roseaux sauvages d’André Téchiné, l’un des plus beaux films et probablement le plus aimé du cinéaste.
A cette époque, je n’étais pas cinéphile. C’est en faisant du cinéma que j’ai été initiée au cinéma. » Et c’est André Téchiné qui aura joué le rôle du grand initiateur. Pas seulement pour elle, d’ailleurs. « Nous étions quatre acteurs tous très jeunes, instinctifs, animaux. C’est ce que cherchait Téchiné, et il nous a tous portés…