L’assassin qui rêvait d’une place au paradis?
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1Lecteurs en quête d’un bon polar, passez votre chemin, le nombre des cadavres pourrait peut-être vous satisfaire, mais en aucun cas la recherche de l’identité du criminel et de ses motivations (comme quoi la présence du mot « assassin » dans un titre n’est pas une garantie). En revanche, si vous avez envie d’un bon moment de rigolade, ouvrez ce livre.
Si vous n’êtes pas séduit à la page 20, c’est à désespérer de votre sens de l’humour. Oyez donc les aventures de Per Persson (nul n’est responsable de son patronyme, hein ?)
, qui s’associe avec Johanna Kjellander, pasteur licenciée par sa paroisse (eh oui, ça arrive, là-haut), pour aider Dédé le Meurtrier (alias Johan Andersson ; en France, ce serait Jean Dupont) à monter un petit commerce spécialisé dans la rude tâche de persuader les débiteurs de s’acquitter de leurs dettes.