Acnlwa quelqu’un rêve de ma ville comment le savoir?
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Je croîs m’étre aperçu d’iiu changement de savisur dans la liqueur chaulFée et edle qui né’ Tétait pàsl Le principe vénéneux est- fl volatil ? c’est ce que nous nous proposons d’exd- mînA».
‘• • » Ce mémoire doit – ètrè considéré comme une annonce d^ ma Lérlaux entrant dans le lauricr-roic , attendu que nous saounes dans Tinteution de répéter cette analyse ^ et d opérer I — — — — •- * I — – – _ 1 (5) Il parau que celle madère est cuiiauiv-e^pur la cOitgulaUoa de la ixcule Tcrbe ^ car on ac la uouvc ]>lu» diuu la lic^ucai diuuilcc.
Digitized by 326 BUIiXiËTIN de manière à nous procurer ses principes immédiats , asses abondans pour les soumettre à quelques examens , elles étu- dier aree soin. . .. NOUVELLES DES SCIENCfiS.
M. Mongcz, savant antiquaire, membre de la 3«. classe de 1 institut, qui avait déjà rélut(i cette opinion , la combat aujourd’hui ayec des preuves décisires /-et aidé des expé- riences tentées par M* Daroet , chimiste disdnguë. – . Du cuivre rouge , allié avec des proportions diverses d’é- tâin, forme diverses qualités d’airain ou de métal de cloches.
Jjes ‘anciens Gncs et Rmnainsen frisaient la plupart de km instrumens les plus usuels, couteaux, ciseaux, peinards , ëpées , instnunens de chirurgie même , etc. Or il fallait une dureté assez considérable à oetLXHny afin- de les rendre tran- chans et capables d’entamer des corps rénstans.
I n hôte au foyer est un dieu visiteur. \ Faire son dieu d’une chose, y être très attaché : Faire son dieu de l’argent. \ Vous l’tes un dieu, von» ave* Sjfi coiiime l’aurait fait an dieu. || Demi- dieu, Atre surhumain: divinité Mcondaire; homme que l’on t ^ d’un dieu et d’une déesse. – l’I. >’ i/Jr. DIEI’IHtN.M. . /r />/«/’, <m.
.Sur- nom lie quelques liU lie (U’inces dont ou re- garilait la nais>nn<^e eomuic un don du ciel. DIKl’I.F.Krr. U67 hab. Ch.-I. de c, arr. de .Monteliniarl Drome), sur la r. d. du .la- hron. i^aux minérales. Filatures, moulim– rie« de soie, draperies, etc. OIEUZR ,1. llecnn/mui), 2895 hah. An’ ch.-l. de c, arr. de Chateau-Salins ^Meui- the);ch. de fer de l’K. Kxploiiatiun de mI gemme.
DIFFAMATEIÎR, TRICE [diffamer , s. Qui décrie, qui ternit la réputation : l’n lilrhe diffamateur. niFFAMATION ‘1. diffamntionem^ . sf Aciion de diffamer, de nuire à la réputa- tion : Personne n’esta l’ahri de la diffama- lion. Il Allégation d’un fait qui peut porter alteiuie â In réputation : l’ne plainte en diffamation. (Dr.l niFFAMATOIltB [diffamer^, adj.
i g. Qui nuit à la ré|iutalion : i?çr/7(//^«»na/oi)e. niFFAMEl» I. iliffiimare,, vl. .Attaquer, faire perdre la répulalion en débitant de mauvais jiropos : // vous diffame partout. || Déshonorer : Diffamer ses aieux. — Se dil- famer, vr. Nuire à sa propre réputation : Les méchants .le diffament eux-m-‘ines. — I)(^r. IH/fnniant. diffamnlion.