Celui qui rêve michel auclair?
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Elle apporte de la richesse à l’inconscient, une possibilité de concilier vie moderne et spiritualité, Orient et Occident, mysticisme et vie concrète.
Il suit les cours d’art dramatique au conservatoire de Paris et débute en 1940 au Théâtre de l’Œuvre (Claudel, Ibsen). Dans un répertoire classique et moderne il joue la tragédie mais aussi, avec Roger Planchon en 1954, Molière. Il débute au cinéma en 1945. Son pseudonyme provient du titre d’une pièce de Charles Vildrac.
Filmographie partielle 1946 La Belle et la Bête Jean Cocteau Ludovic 1946 Les Malheurs de Sophie Jacqueline Audry Paul 1946 Ouvert pour cause d’inventaire Alain Resnais Portrait astrologique de Michel Auclair (extrait) Avertissement : ces extraits de thèmes astrologiques sont traités informatiquement pour les 64 536 célébrités présentes et n’ont aucun caractère personnel : les textes correspondent aux significations des planètes ou combinaisons de planètes en signes et/ou en maisons ainsi qu’aux interprétations des dominantes planétaires, conformes à l’astrologie occidentale moderne.
Charlotte dans sa jeunesse étudiante était partie en Russie en 1917. Venu là, comme elle, faire la révolution, un jeune serbe nommé Wislaw Vujovic tomba amoureux de la petite française. Un fils, Pierre, naquit de cette union révolutionnaire. L’Histoire retient que Wislaw Vujovic fut assassiné par les sbires de Staline. Son fils, Pierre Vujovic, devenu comédien choisi de prendre pour nom Michel Auclair.
Michel avait aidé à l’achat de l’appartement rue d’Assas, et il avait sauvé de la misère cet homme dont les gants blancs n’étaient qu’un costume de théâtre. Michel intimidait mes parents, peu habitués à fréquenter des vedettes du spectacle. En 58 ils m’avaient emmené au théâtre voir Michel jouer dans une pièce de Giraudoux, Tessa la nymphe au cœur fidèle…
À 13 ans le romantisme produit ses effet, j’ai dû rêver un moment d’être acteur et tomber amoureux de la jolie comédienne qui incarnait Tessa. Charlotte et le majordome prirent leur retraite.
Au revoir papa!» Elle a aussi tenu à souligner toute la place qu’a prise Paula Longtin, compagne de M. Auclair au cours des dernières années. Plus de dix décennies de succès Le 27 mars 1947 paraissait le premier numéro du Courrier du Sud, premier hebdomadaire francophone à voir le jour sur la Rive-Sud de Montréal.
La mémoire de M. Auclair et ses nombreuses réalisations resteront à jamais gravées dans le cœur et l’esprit de ses enfants Marie-José, Michel, Daniel et Denis, ainsi que de tous ceux qui ont eu la chance de le connaître, l’apprécier et l’aimer.
Nul doute que la traversée vers le paradis s’est bien déroulée pour vous, M. Auclair, et que de là-haut, vous continuerez à guider les pas de vos proches, sans oublier ceux de votre deuxième famille, vos employés.
La femme qu’on confectionne s’autonomise. L’homme qui la confectionne tombe en amour. Et, fatalement, le bon pathétique philistin ricain culminera quand Jo, de retour sur la rive gauche, s’installera pieusement, comme une sorte de houri intellective, aux pieds du divan du professeur Émile Flostre.
Soixante ans plus tard, on en est quand même un peu revenus de ces ricains expressionnistes d’après-guerre avec leurs sautillements et leur fausse joie ricanante masquant leur abyssal vide cognitif de cuistres impériaux.
Un peu tristement, je regarde Astaire (58 ans alors) et Thompson (48 ans alors) dans ce numéro dansant au style déjà monté en graine, sur fond de salle obscure, et j’ai quand même un peu envie de leur dire: ça va, barrez-vous, les clinquants croulants, on vous a vu… et que Saint-Germain-des-Prés revienne un peu, quand même.
Évidemment ici, en 1957, sous le fanion satisfait et triomphant de la Paramount, Saint-Germain-des-Prés ne reviendra pas et… n’y sera jamais vraiment, en fait. Bien au contraire.
[47] Jacques Copeau, La maison natale, ouvr. cité, p. 15. [48] FC, 8-MAQ-16590. Les expressions entre guillemets sont des annotations sur la maquette. [49] FC, 8-MAQ-16588 et 16789. Un échantillon du tissu a été encollé sur la maquette. [50] FC, 8-MAQ-16587. Un échantillon de tissu est également joint. [51] Voir Jacques Copeau, « Le grenier », Souvenirs d’enfance et de jeunesse, FC (NC).
[52] Jacques Copeau, « Le grand-père », Souvenirs d’enfance et de jeunesse, FC (NC). [53] Jacques Copeau, Journal, texte établi, annoté et introduit par Claude Sicard, Paris, Seghers, coll. « Pour mémoire », 1991, t. i, p. 168. [54] Jacques Copeau, La maison natale, ouvr. cité, p. 13. [55] Voir les extraits de canevas de la pièce, inédite, publiés dans Jacques Copeau, Registres, Paris, Gallimard, t. vii, p. 287-303.
[56] Jacques Copeau, La maison natale, ouvr. cité, p. 11. [57] Photographies de Léon Régis, FC (NC). [58] Jacques Copeau, Registres i. Appels, éd. Marie-Hélène Dasté et Suzanne Maistre Saint-Denis, Paris, Gallimard, coll. « Pratique du théâtre », 1974, p. 72-73. [59] André-Paul Antoine, Antoine père et fils, Paris, Julliard, 1962. [60] Le 14 octobre 1940.