Challenges etudes emploi entreprise pourquoi le canada fait autant rêver?
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L’aéronautique et les techniques maritimes sont une autre marque distinctive de l’université. Une attention particulière est réservée aux étudiants étrangers, et les Néo-Ecossais sont connus pour leur chaleureux accueil. Frais annuels : 7.300 euros environ. Infos : http://www.nscc.ca Université d’Ottawa 100 % bilingue, « U of O » accueille 45.000 étudiants, dont 10 % d’étrangers.
Infos : http://www.uottawa.ca Université Laval La vieille dame de Québec, dont les origines remontent à 1663, accueille 48.000 étudiants, dont 14 % d’étrangers. Laval est le plus important établissement supérieur francophone d’Amérique et compte plus de 60 départements, écoles et instituts. Infos : http://www.ulaval.ca University of Alberta Le campus d’Edmonton dispose d’une résidence francophone. La cinquième université canadienne est réputée pour les sciences.
Direction l’île d’Ellesmere, dans le Parc national de Quttinirpaaq. « On y accueille un Français tous les dix ans », observe l’organisateur, Black Feather Adventures. En deux semaines et 120 kilomètres, par groupes de 6 à 8 personnes, on longe fjords, lacs, torrents, montagnes sous un ciel bleu azur.
«L’Institut Vecteur va aider l’Ontario à élaborer des solutions maison et à rester à l’avant-garde de l’innovation en matière d’intelligence artificielle», ambitionnait Reza Moridi, ministre de la Recherche de l’Ontario, lors de son lancement en mars dernier.
Avec ses 16 universités, 15.000 entreprises tech, 5.200 start-up et 200.000 salariés, le Corridor s’affirme comme the place to be pour la fine fleur du numérique, dont les Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple), présents via leurs centres de développement. Autrement dit, ne pas s’y implanter relève -presque- de la faute professionnelle.
Jouer la carte French Tech à Montréal Montréal, ou plus exactement l’île de Montréal, compterait entre 1.800 et 2.600 start-up actives.
Feuilles d’Erable (Photo Pixabay) Le Canada, deuxième pays le plus grand du monde après la Russie, est aujourd’hui une destination de rêve très convoitée par les nombreux Français désireux de renouveau, que ce soit pour des raisons personnelles, économiques ou bien professionnelles. Mais pourquoi cette terre d’immigration fait-elle autant rêver les Français ?
D’après l’article “Français au Canada : vous êtes toujours plus nombreux !”, la communauté Française au Canada a plus que doublé entre 2001 et 2017. Il y a une quinzaine d’années le nombre de Français inscrits sur les listes consulaires canadiennes approchait les 45 000 alors qu’aujourd’hui on estime à plus de 100 000 le nombre de Français installés au Canada.
La bonne économie du Canada favorise l’immigration L’économie canadienne est actuellement en bonne santé, selon l’article “D’où vient la bonne santé économique du Canada”, le Canada est le vingtième pays le plus riche du monde et arrive à la douzième place mondiale en terme d’IDH (Indice de Développent Humain).
1. ATTENTION AU SECTEUR
Du plombier au pharmacien en passant par l’infirmier, plusieurs professions sont réglementées. Pour entreprendre dans l’un de ces métiers, les postulants étrangers doivent non seulement obtenir l’accord de l’ordre professionnel de la province ou du territoire concerné, mais aussi bien souvent décrocher une certification, voire un permis de travail spécifique.
2.
CHOISIR LA BONNE PROVINCE Le droit des sociétés canadien revêt une dimension à la fois fédérale et provinciale. D’où l’importance de bien se renseigner sur les particularités de la province visée. « De l’une à l’autre, la fiscalité, les cotisations sociales ou encore les taxes à la consommation varient », pointe Gacia Kazandjian, avocate responsable du desk Canada du cabinet DS Avocats.
3.
TROUVER LE BON VISA Permis de travail temporaire, PVT (programme vacances travail), résidence permanente… Tout immigré disposant d’un permis de travail peut créer son entreprise.
Sur ses 140 salariés, aux 27 nationalités, cinq sont français : « Ce sont généralement des personnes avec de belles expertises et personnalités. De plus, étant basés au Québec, nous recherchons des gens qui maîtrisent le français. C’est donc un point qui les avantage.
» Outre ceux de l’informatique, les métiers de l’industrie du jeu vidéo, des services financiers, de la construction, de la santé, de l’aérospatial, du transport routier ou encore de la machinerie sont particulièrement en tension.
Face à de gros pôles d’attraction tels que Québec et Montréal, certaines collectivités, comme la petite ville de Drummondville qui compte 100.000 habitants, vont plus loin en se dotant par exemple d’un service dédié à l’intégration des nouveaux arrivants de la recherche d’un hébergement à l’achat du véhicule en passant par l’aide à la recherche d’emploi pour le conjoint ou l’inscription des enfants à l’école.
Mais contrairement à une idée reçue, l’eldorado canadien n’a rien d’une promenade de santé pour les travailleurs français. Les procédures d’immigration sont non seulement multiples (permis de travail temporaire, résidence permanente, entrée express, certificat de sélection du Québec…), mais surtout très sélectives.
Tour d’horizon. CANADA Comme Louise, près de 12 000 jeunes Français étudient au Canada, pour la plupart au Québec francophone. Même si les frais de scolarité y ont augmenté il y a deux ans, ils restent plus bas qu’aux Etats-Unis voisins. A McGill, par exemple, l’année coûte environ 5 000 euros. On peut partir en solo dans la Belle Province ou dans le cadre d’un programme d’échange.
Il en existe dans plusieurs grandes écoles ainsi que dans quelques universités, dans le cadre de l’accord dit Crepuq. Un séjour dans la partie anglophone du pays est très valorisant sur un CV, à condition de bien maîtriser l’anglais, et d’en avoir les moyens financiers, car l’enseignement y est plus cher. Vancouver ou Toronto sont des villes jeunes et dynamiques.
Mais dans les établissements privés, il faut compter au minimum 40 000 dollars.