Chanson quand je rêve je suis une hyene?
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Sur la mer, que j’aimais comme si elle eût dû me laver d’une souillure, je voyais se lever la croix consolatrice. J’avais été damné par l’arc-en-ciel. Le Bonheur était ma fatalité, mon remords, mon ver: ma vie serait toujours trop immense pour être dévouée à la force et à la beauté. Le Bonheur!
Ce charme a pris âme et corps Et dispersé les efforts. O saisons, ô châteaux! L’heure de sa fuite, hélas! Sera l’heure du trépas. O saisons, ô châteaux! Cela s’est passé. Je sais aujourd’hui saluer la beauté. L’impossible Ah!
cette vie de mon enfance, la grande route par tous les temps, sobre surnaturellement, plus désintéressé que le meilleur des mendiants, fier de n’avoir ni pays, ni amis, quelle sottise c’était. – Et je m’en aperçois seulement!
– J’ai eu raison de mépriser ces bonshommes qui ne perdraient pas l’occasion d’une caresse, parasites de la propreté et de la santé de nos femmes, aujourd’hui qu’elles sont si peu d’accord avec nous. J’ai eu raison dans tous mes dédains: puisque je m’évade! Je m’évade! Je m’explique. Hier encore, je soupirais: “Ciel! sommes-nous assez de damnés ici-bas! Moi j’ai tant de temps déjà dans leur troupe!
Je les connais tous. Nous nous reconnaissons toujours; nous nous dégoûtons. La charité nous est inconnue. Mais nous sommes polis; nos relations avec le monde sont très-convenables.” Est-ce étonnant? Le monde! les marchands, les naïfs! – Nous ne sommes pas déshonorés.
Paroles de la chanson La hyène par Wallace Cleaver Mon frérot, y a plus l’time, au loin, j’entends l’cri d’la hyène Au loin, j’entends l’cri d’la hyène Eh On s’relève quand y a pas l’moral, on s’révèle quand on voit l’total Nos yeux savent bien dire qu’on s’aime parce qu’on a jamais su l’dire à l’oral J’suis dans l’BORO, j’parle tout seul, enfant propre dans un monde trop sale J’ai voulu leur faire chanter l’chœur, j’ai-j’ai pas réussi à faire une chorale Et fuck, j’suis dans l’son comme personne, chaque fois qu’j’ai une réponse, putain, j’me questionne J’vois l’ciel, j’crois qu’il m’espionne, j’crie au vent et d’un coup, l’tonnerre sonne J’vois tout de là-bas mais j’suis plus d’ici, j’ai vu l’trou, j’ai pas vu l’missile Rien n’se perd, tout se modifie, des fils de pute, y en a trop ici Campagnard dans l’Merco Classe S, si on s’tue, ça dépendait pas d’moi Comme Niro, j’ai connu les quatre voies et quatre-vingt-dix pourcents de c’que connaissent les gars d’Blois (gars d’Blois) Ils m’ont détruit, faut payer, j’fonce dans la porte avec quatre béliers À SLN, y a souvent des boums, pas d’fête, encore une caisse qu’a dévié J’cavale comme si j’étais un lévrier, assez d’litres pour faire couler un gros Bénéteau Si t’es né quand tu galères, Léo est né tôt, W, PR, c’est Ronaldinho et Eto’o J’mets dans la pierre, j’remets dans les métaux J’connais l’prix d’la terre et celui des végétaux J’crois en mes rêves, papa dit d’se lever tôt J’crois en mes rêves, papa dit d’se lever tôt Mon frérot, y a plus l’time, au loin, j’entends l’cri d’la hyène Un frérot tape la came, un autre s’pavane en Cayenne Paris, c’est pas chez oi-m mais cette ville s’ra bientôt la mienne Ton visage a eu mal mais ton pétard a la moyenne Au loin, j’entends l’cri d’la hyène, au loin, j’entends l’cri d’la hyène Mon frérot tape la came, un autre s’pavane en Cayenne Paris, c’est pas chez oi-m mais cette ville s’ra bientôt la mienne Ton visage a eu mal mais ton pétard a la m- On peut vivre et mourir dans la même seconde Les yeux vers le monde, est-c’que j’rêve quand la haine retombe ?
J’ai passé ma vie dans une cave À malaxer mes burnes à la bave Les yeux bandés. Je profite de rien, je suis lessivé. Mon vide crânien j’ai cultivé. Destin d’épave… Las galérien, j’veux pas qu’on me tienne. Je sers à rien, charogne pour hyènes. Desséché… Moitié d’une vie sans la chaleur Remplie de doutes sans la couleur, Je suis périmé.
Mon ciel fendu, toi météore, Dont l’impact déterre Mon corps perdu et mon âme que tord Le doux parfum d’Ether, Tu as voulu jeter un sort Au sombre monastère À ma nuit crue et mon monde des morts À ma pénombre austère. Mais comment sauver, aimer un homme à terre ? Quand sous les coups il s’évapore, Hurle à rendre fou : « Encore !
» Je rêve, je rampe et je rêve, je rampe Plus je rêve, je rampe, plus je rêve, je rampe dans la poussière.
Je pourrais t’écrire de belles histoires, qui finissent bien comme dans les films Te dire que tout vas bien, que l’avenir sera magnifique Que tes projets se réaliseront sans faute Où le travail ça paye plus que la drogue, et que la chance existe vraiment, et qui suffirait juste de l’attraper en vol Je pourrais t’en raconter des tonnes mais j’ai pas envie de te mitonner, j’ai pas envie de te dire des mensonges incroyable Je veux pas que tu te passes de tes rêves de princesse, pour te réveiller dans mes songes effroyables Il faut que je te dise la vérité d’entrée, même si elle blesse faut l’affronter Parfois la vie te sort des phases de dingue, de fou, d’une cruauté à t’éventrer J’arrive de là où la vie me mène, là où les casiers judiciaires très tôt se font trouer l’hymen Là où l’état nous case dans des Hlm, loin de la beauté, du luxe, des rues parisiennes Je suis dépassé par mes pensées, mon chant de vision m’envoie des flashs de traîte négrière J’ai l’impression de voir des esclaves passer des champs de coton à ceux d’la classe ouvrière Je viens d’en bas là où ça se tape pour des broutilles Où la jeunesse fait de la violence une routine Où ça tripote les armes à feu comme dans les rêves érotiques de Poutine Où les darons se battent pour ramener la paye Souvent la guerre viens des gardiens de la paix Et si j’en parle c’est pas pour exciter les frères et voir un des nôtres finir à terre Je pourrais aussi te parler des sœur qui travaille à l’école, ramène des diplômes à la maison, et pas de ces folles qui déconne sur les réseaux sociaux et qui s’affiche comme des connes qui aurait perdu la raison On a beau vouloir s’évader d’ici découvrir l’immensité de l’horizon L’ignorance est le pire homicide et le savoir est une arme qui t’emmène pas en prison Espère un jour être exemplaire, pouvoir parler de ça à mes enfants, leur raconter ce qu’on a dû faire Que la douce France n’est qu’une chanson Qu’on t’a promis un ciel couleur bleu clair, mais hivernal sont les saisons Ton nom gravé sur un bout de pierre dans le cimetière des illusions Ouais j’ai côtoyé la violence vu qu’elle traînait en bas de chez moi, j’ai pas eu besoin de bouger très loin J’ai hérité de la délinquance comme un passage de témoin Ici pour gagner sa vie la mort se vend en sachet , le gosse de riche et ravi le nez plongé dans la C Je voulais d’autres chose mais j’ai dû m’y faire en esquivant les chemins enflammé de Lucifer Et quand les tentations t’appelle gros elle sait y faire, te chante à l’oreille avec la douce voix de Jennifer On a souvent gâché nos plans, le shit un sédatif nous a cloué sur des bancs On s’est trompé voulant devancer le temps, nous a semé des promesses, on a récolté du vent Pendant que les ches-ri danse la salsa sur la 4 Les darons se tape pour mettre la barbak sur la table Quoique l’on fasse gros les médias nous accable, le droit d’y croire même si l’avenir est macabre, même si l’amour de l’argent nous est fatale Je suis partout sur le terrain comme Youcef Atal Ils veulent nous voir quitter la France en faisant croire qu’elle nous déteste, mais moi je l’aime gros c’est mon pays natal Je suis accroché à elle, et elle et moi tu peut rien faire Dîtes à Zemmour et Marine Le Pen de lâcher l’affaire Si l’Algérie c’est mon père, alors la France c’est ma mère Alors me priver de l’un où l’autre c’est m’arracher la chair (c’est m’arracher la chair) Mais j’irai la où la vie m’mène, là où mes pieds m’traînent J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système J’vais là où la vie m’mène, là où mes pieds m’traînent J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système Peu importe la manière forte ou douce Chacun essaie d’survivre, conscient qu’on y reste tous J’vais là où la vie m’mène, là où mes pieds m’traînent J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système Croire en l’argent, son pouvoir, le respect qu’il dégage Puiser la force dans l’amour, la haine, la peine ou la rage
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