Combien a couté l’expsotion dior couturier du rêve?
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Dans les années 20, ils développent la fabrication des lessives et créent la javel Dior et la fameuse lessive Saint-Marc… Le jeune Christian Dior que l’on voit ci-dessous sait immédiatement ce qu’il ne veut pas faire : travailler dans les usines paternelles car c’est pour lui un pur calvaire ! Comme le montre le portrait ci-dessous, Christian Dior n’a pas du tout l’aspect de quelqu’un voulant travailler en usine !
Vous n’êtes pas sans savoir que Dior était quelqu’un de superstitieux et qui se passionnait pour l’astrologie… Il s’est entouré tout au long de sa vie de diseuses de bonne aventure ! Il a rencontré sa première voyante à l’âge de 14 ans, c’est vous dire ! C’est ainsi qu’une chiromancienne lui a dit un jour ceci : « vous vous trouverez sans argent, mais les femmes vous seront bénéfiques et c’est par elles que vous réussirez.
Vous en tirerez de gros profits et vous serez obligés de faire de grandes traversées. » Nous, on connaît la suite ! Ci-dessous, c’est l’étoile sur laquelle Dior a buté dans la rue, un jour de 1946 : cette étoile est devenue son porte-bonheur, son étoile de Berger qui lui montrera le chemin à suivre. C’est ainsi que Dior a décidé, ce jour-là, de prendre en main son destin en décidant d’ouvrir une maison à son nom !
Ouverte le 5 juillet 2017, l’exposition « Christian Dior, couturier du rêve » a été l’une des plus visitées l’an passé à Paris, après celle consacrée à la collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton (1,2 million de visiteurs).Robe opéra bouffe de 1956 – Christian Dior, couturier du rêve« Record absolu » en termes de fréquentation pour le musée, elle a attiré environ 50 % de visiteurs étrangers, a précisé à l’AFP le directeur général du « MAD », David Caméo.
Cette rétrospective exceptionnelle, organisée avec le soutien de la maison Christian Dior à l’occasion des 70 ans de la griffe, nécessitait de s’armer de patience face aux files d’attente de quatre heures en moyenne.Organisée sous la houlette d’Olivier Gabet, directeur du musée et commissaire de l’exposition avec l’historienne Florence Müller, elle rassemblait sur 3000 m2 quelque 300 robes de haute couture, un millier de documents et une centaine d’oeuvres d’art, dans une scénographie signée Nathalie Crinière.Avec une fréquentation autour de 3 500 visiteurs par jour en moyenne et des pointes à plus de 6 000, l’exposition, qui était depuis le 26 décembre ouverte en nocturne jusqu’à 22 heures, a largement dépassé les « 400 000 visiteurs » initialement prévus par le musée.Visitée par de nombreuses stars et personnalités, très médiatisée et largement relayée sur les réseaux sociaux, elle a engendré « un surplus de recettes important », a indiqué le directeur général, sans le chiffrer.
Une scénographie impressionnante orchestrée comme un ballet des modèles les plus marquants de la célèbre griffe qui semblent flotter dans les 2000 m2 d’espace. Une mise en scène signée Nathalie Crinière, qui n’est évidemment pas sans rappeler l’exposition du Musée des Arts Décoratifs qui avait pulvérisé tous les records en 2017. Mais nous allons aller plus loin, passer le show et les paillettes, et l’air de rien, pénétrer dans l’histoire… Souvenons-nous. A l’origine.
Des ateliers dans les combles, un tout petit studio de création, une cabine pour les mannequins, six petits salons d’essayage… L’antre de Christian Dior, véritable « refuge du merveilleux » que le créateur surnommait lui-même « le bureau des Rêveries » s’ouvre enfin à nous.
Modèles, croquis originaux, documents d’archives, accessoires et même le bureau du créateur, nous sont donnés à voir pour la première fois ou presque… Toutes les références à l’essence du style Dior sont ici réunies dans un bal enchanteur, du New Look aux iconiques jupes corolle.
Et ne le font pas à la légère.On se souvient des neuf heures d’attente nécessaires pour accéder, les derniers jours avant la clôture, à l’exposition «Christian Dior, couturier du rêve», organisée au musée des Arts décoratifs à Paris il y a plus d’un an et dont une nouvelle version est inaugurée, ces jours-ci, au Victoria & Albert Museum (voir encadré) à Londres.
Ce succès, parmi les plus beaux records de fréquentation de musées en France en 2017 avec 708000 visiteurs en six mois, est également révélateur de la relation qu’entretient aujourd’hui le luxe avec ses archives. «Au-delà de sa réussite et de son côté extraordinaire, à savoir la plus grande rétrospective jamais consacrée à Christian Dior, cet événement paraît exemplaire du nouvel intérêt des maisons pour leur propre patrimoine.
En 2017, la proportion s’était inversée: leur immense majorité provenait des archives de la maison», décrit Olivier Gabet, directeur du musée des Arts décoratifs.C’est précisément à l’occasion des travaux préparatoires de la première rétrospective que Bernard Arnault, propriétaire de Dior depuis 1984 [groupe LVMH, propriétaire des Échos], constatant ce déséquilibre de sources et l’éparpillement aux quatre vents de ses plus beaux vestiges, décida la mise en place d’un service dédié.
«C’est à ce moment que l’on a véritablement pris conscience de la valeur patrimoniale d’une maison de mode, au-delà de sa valeur commerciale. Dans le cas de Dior, c’était très fort.
Avec «Christian Dior, couturier du rêve», «Fortuny, un Espagnol à Venise», ou encore «Balenciaga, l’oeuvre au noir», l’année 2017 a été riche en expositions et rétrospective mode. Bonne nouvelle, 2018 devrait également satisfaire les envies de découverte des adeptes de la couture et du prêt-à-porter, avec une multitude d’expositions d’envergure notamment consacrées à des couturiers légendaires, comme Margiela ou Alaïa. Voici les expos mode à ne surtout pas rater en 2018.
«Beyond Seeing» au WIP La Villette – PARIS Le Goethe Institut, en partenariat avec une sélection d’écoles de mode et d’art d’Allemagne, de France, de Belgique et de Suède, présente l’exposition itinérante, interactive et expérimentale «Beyond Seeing», du 18 au 28 janvier au WIP La Villette à Paris.
L’exposition vise à « rendre perceptibles la mode et le design dans une interaction des différentes perceptions sensorielles se situant au-delà du sens visuel » à travers des créations, mais aussi des ateliers, des performances et des interventions artistiques.
Une coquette somme que l’homme justifie pourtant en faisant observer qu’en acceptant le poste, celui-ci devra fournir une double charge de travail. En effet, s’il acceptait l’offre, le couturier devrait mener de front deux lignes de vêtements (Marc Jacobs et Marc by Marc Jacobs), soit un total de 22 collections par an!
Une performance qu’actuellement seul Karl Lagerfeld pour Chanel est capable de mener à bien Interrogé par CNN, le couturier qui ne dément pas les rumeurs ajoute tout de même ceci: « Ce serait un honneur de travailler pour une telle maison. Je veux dire, il est évident que les deux grandes maisons de couture à Paris sont Chanel et Dior. Je pense que ce serait une offre très difficile à refuser ».
Outre la proposition faite à Marc Jacobs, Women’s Wear Daily rapporte que Dior aurait également approché Alber Elbaz, Nicolas Ghesquière et Sarah Burton afin d’endosser le « rôle ».