Combien rêveraient?
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J’ai joué à Fort Boyard quand j’étais gamin avec mes Playmobil. J’ai animé l’émission dans le salon de mes parents et c’est comme ça que j’ai décroché un poste de stagiaire en envoyant des idées d’épreuves à la production. En les engueulant, en leur disant celle-ci, elle est nulle, il faudrait ajouter ça. Ils m’ont repéré comme ça, j’étais un jeune garçon de 13 14 ans.
Et un jour, je suis allé à Paris exprès pour rencontrer la production qui m’a proposé mon premier job à la télé », s’est-il souvenu.À voir également : Cyril Lignac : sa boutique à Saint-Tropez dévalisée !
« C’est ce que j’aime le moins »Un document réalisé par Enora Malagré au cours duquel Cyril Féraud a insisté sur le fait qu’il était conscient d’être extrêmement chanceux de vivre de sa passion : « Il y a combien de gens qui rêveraient de me pousser dans l’escalier pour prendre ma place ? Et surtout, combien de gens peuvent dire aujourd’hui, mon boulot, c’est mon rêve d’enfant ?
Richesse, intelligence ou beauté ? L’Ifop s’est penché sur la question pour le site Critiquejeu.info afin de mieux connaître les désirs des Français. Avoir de l’argent est clairement la préoccupation première des personnes interrogées (62%). Même si l’idée d’être intelligent suit de près cette éventualité (40%), celle de la beauté n’en intéresse finalement que très peu (34%).Alors, de l’argent, oui mais combien et pour quoi faire ?
Plus de six Français sur dix avouent rêver souvent ou parfois d’être suffisamment riches pour ne plus avoir à travailler. Selon l’étude, la tendance est plus marquée chez les femmes que chez les hommes, respectivement à 64% contre 60%. L’idée émerge à 78% chez les moins de 35 ans et à 59% pour les personnes de plus de 35 ans.Combien d’argent ?Afin de bien vivre, les Français ont déjà une petite idée de la somme idéale.
Un documentaire à découvrir ce lundi 6 novembre 2023 à 23h 10 et dans lequel Cyril Féraud intervient pour raconter son métier. Un rêve devenu réalité.
Dans le deuxième volet de la série de documentaires Ces Français, C8 est partie à la rencontre de ceux qui nous divertissent au quotidien, qu’ils soient animateurs d’Ehpad, de camping ou encore de télévision… Et surprise, via un extrait dévoilé par la chaîne ce lundi 6 novembre 2023, à quelques heures de la diffusion à 23 h 10, les internautes ont pu découvrir que c’est Cyril Féraud qui a été choisi pour dévoiler les dessous de son métier.
« C’est Fort Boyard qui m’a donné envie de faire de la télévision parce que ça me faisait rêver un jeu d’aventure au milieu de la mer avec un trésor gardé par des tigres.
La somme idéale que les Français voudraient gagner pour vivre leurs rêves varie selon leur niveau de vie, leur genre et leur âge.Si vous aviez une baguette magique, quelle somme souhaiteriez-vous faire apparaître sur votre compte en banque? Selon une étude de l’Ifop du 21 septembre, le coût d’une « vie de rêve » s’élève à 26 millions d’euros.
C’est en effet la réponse moyenne donnée par les 1000 personnes interrogées par l’institut de sondage.Les Français les plus modestes, qui perçoivent entre 900 et 1300 euros net chaque mois, se montrent plus gourmands et chiffrent en moyenne à 45 millions d’euros la somme d’argent qu’il leur faudrait pour financer leurs rêves.
Les Français les plus aisés, qui gagnent plus de 2500 euros net par mois, estiment, quant à eux, qu’ils auraient besoin de 17,6 millions d’euros.Lorsqu’on les interroge sur des sommes précises, les Français se montrent beaucoup plus raisonnables. La moitié déclare ainsi qu’ils pourraient se contenter de moins d’un million d’euros.
Combien rêveraient d’être à ma place ? Cette pensée tournait dans la tête d’Esteban comme un nuage de poussière piégé entre deux courants d’air. Il avait toutes les peines à écouter le PDG de l’autre côté du bureau de verre – un homme large, dont le visage de cire rendait l’âge illisible – qui lui vantait d’une voix incontestable les qualités de sa multinationale. C’était bien inutile.
Esteban n’était pas marié, mais il le savait : il avait une chance de cocu. Ils étaient peut-être cinq mille au départ de ces entretiens, et c’était pourtant lui, le fils d’immigré, l’étudiant boursier, le caissier à mi-temps, qui signait en ce moment même un CDI au salaire à six chiffres d’un stylo-plume à trois chiffres. Le patron fit le tour de son bureau, découpant de sa silhouette taillée sur mesure la baie vastement vitrée sur la ville.
Le patron partit d’un rire plus massif que du bois. Le DRH, assis sur un fauteuil de cuir et son amour propre, fut son premier public.