Comment arrêter de rêver de mcdo?
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J’ai décidé de poursuivre mon rêve de devenir hôtesse de l’air en mai 2022. J’ai quitté McDonald’s et j’ai suivi ma formation de 6 semaines», détaille-t-elle ensuite. «J’ai réalisé que je ne gagnais plus autant qu’avant et j’ai donc décidé de retourner chez McDonald’s à temps partiel tout en continuant à voler en octobre 2022.
L’aviation ne s’est pas déroulée comme je l’avais imaginée et beaucoup de choses se sont produites, j’ai donc décidé d’arrêter et de retourner chez McDonald’s à temps plein», conclut-elle. Plusieurs internautes ont partagé leur expérience. «Les gens ne réalisent pas à quel point les agentes de bord sont mal payées, c’est pourquoi je n’ai pas encore quitté le commerce de détail pour cela», a écrit une femme.
«La seule raison pour laquelle je n’ai pas essayé de devenir hôtesse de l’air est le salaire, car je ne peux pas m’infliger cela», a mentionné une autre. «J’ai obtenu le poste de mes rêves il y a 18 mois. J’ai travaillé 10 jours et j’ai démissionné.
Nous leur avons donc demandé ce qu’ils aimeraient pouvoir leur répondre. Voici 6 phrases que les employés de McDonald’s rêveraient de pouvoir dire aux clients :’Répondez-nous quand on vous dit bonjour’ Business Insider France/CSGaël*, 21 ans et équiper chez McDonald’s depuis deux ans, aimerait simplement que les clients lui disent bonjour, ou au moins lui répondent quand il les salue. « Certains manquent de respect, pas un manque de respect énorme, mais ils ne disent pas souvent bonjour ».
Et pourtant, il assure travailler dans un restaurant qu’il qualifie de « familial et tranquille » où les gens sont « moins pressés que dans les grandes villes ».’Respectez-nous un peu plus’ Business Insider France/Claire Sicard Quand on a posé la question à Morgane, 22 ans, qui a travaillé plus de deux ans chez McDonald’s, la réponse a jailli spontanément. « J’ai envie de leur dire que nous ne sommes pas des animaux et que nous méritons le respect ».
Reste que le quotidien est parfois pesant : « c’est assez dur car nous avons interdiction de répondre de manière déplacée, nous sommes censés appeler un responsable… ».Même ressenti pour Manon, 22 ans et employée chez McDonald’s pendant un an et demi.
» Kamel va jusqu’au bout du combat, mettant sa vie professionnelle et personnelle en danger. Puis un jour, il décide de transformer ce combat quand lui vient l’idée de continuer à faire vivre ce Mc Donald pour en faire un lieu différent.*** »***Parce que ce lieu est un lieu d’utopie, là où les rêves se réalisent. Donc, on n’arrête pas de rêver.
On fait de la distribution alimentaire, on fait les maraudes, de la livraison des colis alimentaires pour des personnes qui ne peuvent pas se déplacer, qui sont très âgées. »Merci à Kamel Guemari et à tous ses camarades de l’après M, dont celle qui nous a si bien accueillis, chez elle, pour l’interview, avec thé à la menthe et petits gâteaux.
Reportage : Sophie Simonot Réalisation : Sylvain Richard Musique de fin : Cerise, Les Vilars En savoir plus sur l’Après M :
Le Despentes, c’était une précommande, donc j’attends trois mois comme les autres, juste j’ai payé plus tôt alors que le reste de l’année, je prends des crédits pour payer plus tard (sans compter que le livre, je vais le poser en haut de ma pile et je le lirai au mieux deux mois après l’avoir reçu, si c’est pas idiot…). Tout ça parce que je ne supporte pas qu’un obstacle vienne se placer entre mon désir et moi.
Maintenant, je parie sur l’envie. Mon cerveau, dans ce monde du tout-à-un-clic, croit que je peux tout avoir maintenant. Donc il ne supporte pas quand ce n’est pas le cas. Il boude, il rogne son petit caprice et fait une vie d’enfer à mon banquier, mon postier, la météo, les fiancées des gars qui me plaisent. Je ne sais plus me raisonner, car tout me tombe dans l’appart avant même que j’en éprouve réellement le besoin.
Comme Johnny, je veux qu’on rallume ma vie, j’ai envie d’avoir envie, sinon je vais oublier les rêves et les mercis, toutes ces choses qui avaient un prix et font l’envie de vivre et le désir.
Elle commence à me parler du mariage, elle me demande si j’aimerai me marier un de ces jours. – Non, pas vraiment, lui réponds-je. – Pourquoi pas ? Es-tu gai ? – Oui… Après avoir failli faire un accident d’auto, ma mère reprend ses moyens. Je lui demande de se calmer et de ne pas en parler pour l’instant à mon père.
Elle me dépose à mon travail et je dois continuer ma journée avec une gang de jeunes 7-8 ans, plus fous que jamais. Le retour à la maison est une catastrophe. Dès mon arrivée, je sens qu’il y a un silence qui plane dans toute la maison qui me donne des frissons. Ma mère m’évite du regard. Après un souper en silence, ma mère demande à ma sœur d’aller voir ses amies.
Tous les préjugés sur les homosexuels y sont passés : « c’est sûrement un phase », « c’est le pire drame de la famille », « il faut pas en parler à la famille », « tu vas mourir du sida », « c’est tellement affreux comme les homosexuels font l’amour », « tu seras toujours malheureux », « qu’avons-nous fait pour mériter ça », etc. J’essai de rester fort, de fournir des informations justes, malgré les larmes qui tombent sur mes joues.
C’était comme si une bombe nucléaire avait tombé sur notre maison. Je me sentais tellement démuni. Tellement triste. Je n’avais pas anticipé une telle réaction de mes parents. Même dans mes pires cauchemars, je m’attendais à une certaine ouverture de leur part… Et pis, le téléphone sonne. Je réponds.
On a dû appeler la police à trois reprises. Elle n’est jamais venue (ils ne se déplacent pas pour ça bizarrement). On a patienté presque une heure avant qu’il parte.Tu te sens inutile, tu sais que tu perds ton tempsD’un coup, Paris m’a dégoûté. Après seulement deux-trois mois à travailler au McDo de Strasbourg-Saint-Denis. J’avais rêvé de la vie parisienne depuis toujours, j’ai réalisé que j’avais idéalisé la ville et ses habitants.
Après, je me dis qu’on ne peut pas leur en vouloir, McDonald’s fait de toi une machine en tant qu’employé, alors les clients te traitent comme une machine.Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que tu subis des humiliations de la part des clients, mais tu subis surtout une pression monstre de la part des managers.
Il faut aller toujours plus vite, être toujours plus efficace, ne pas parler avec les clients, juste être à son poste et faire vite, sinon ça peut arriver de se faire insulter par ses managers. Ce qui m’a fait tenir, c’est un client qui m’a vraiment marquée.