Comment représenter le rêve en graphisme?
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Concernant mon parcours, j’ai commencé mes études par un bac arts appliqués à Nancy puis j’ai traversé la France jusque Toulouse pour faire un BTS design graphique. J’ai terminé mon parcours scolaire par une licence professionnelle en création publicitaire puis un diplôme supérieur d’arts appliqués en design graphique. J’ai toujours plus ou moins dessiné mais c’est vraiment en master que j’ai commencé à penser l’illustration comme complément de mon travail de designer graphique.
À la fin de mes études, je me suis mise à dessiner tous les jours et c’est comme ça que tout a commencé. © Laura Lhuillier Les animaux, la femme, la nature ou encore l’astronomie sont des thèmes qui reviennent souvent dans tes dessins. Pourquoi ces thèmes en particulier ? Tout simplement parce que je suis sensible à ces sujets, mes dessins me correspondent et donc ils représentent un éventail de tout ce que j’aime.
rêve et obsessions : ambiguïté narrative et thèmes récurrents dans l’œuvre de blutch Frédéric Paques [Janvier 2008] Blutch est l’un de ces auteurs dont la virtuosité graphique semble être pour beaucoup la fin et la justification de son travail. Cette aisance, tous les critiques la louent. La plupart des dessinateurs de l’après « nouvelle génération » l’admirent et s’en inspirent plus ou moins ouvertement.
Cette conclusion d’une critique de l’album Vitesse moderne glanée au hasard sur un forum l’atteste : « En résumé, une indéniable réussite graphique mais un récit déroutant qui risque d’en laisser plus d’un frustré. » Si les histoires en laissent plus d’un dubitatif, le graphisme fait l’unanimité. Mais Blutch, c’est avant tout une voix et un univers en évolution, comme en témoigne le tournant scénaristique opéré par l’auteur depuis une bonne décennie.
Ce pan du travail de Blutch a ceci de particulier qu’il ne livre pas les clefs de sa compréhension, incitant ainsi le lecteur à échafauder son interprétation personnelle. Cette démarche basée sur l’ambiguïté narrative est assez rare en bande dessinée pour être soulignée.
Être autodidacte: Tout comme les technologies, les tendances en graphisme évoluent rapidement. Il faut donc avoir un bon sens de la débrouillardise et être autodidacte pour pouvoir rester à jour des nouvelles tendances. Être capable d’accepter la critique: Et oui, malheureusement (ou plutôt heureusement) la personne graphiste ne travaille jamais seule. Il ou elle doit donc être capable de recevoir la critique de manière constructive afin de pouvoir répondre aux attentes de ses client.e.s ou de ses collègues.
Voici quelques-unes des options qui s’offrent à toi : Des études collégiales: Il est possible de faire une AEC ou une technique en design graphique au Cégep. Ce type de formation permet d’apprendre le métier de graphiste et ses outils techniques. Il permet aussi d’apprendre comment mieux saisir les besoins des client.e.s et comment communiquer visuellement ses idées. Ce type de formation est donc idéal pour ceux et celles qui désirent entrer rapidement sur le marché du travail.
Baccalauréat: Normalement, pour accéder au BAC en design graphique, l’étudiant.e doit avoir un portfolio à présenter.