Comment un rêve se transonforme en cauchemar?
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Il est donc tout à fait normal d’avoir assez fréquemment des rêves désagréables, déstabilisants, qui font un peu froid dans le dos et à la fin desquels on se dit : « Ah je suis content(e) de me réveiller ». C’est très différent d’un vrai cauchemar, dont les émotions négatives vous réveillent, auquel vous avez cru, qui vous a fait vraiment peur et qui vous fait vous sentir vraiment très mal au réveil, voire pour la journée.
La dépression ou le stress post-traumatique sont notamment des pathologies qui augmentent la fréquence des cauchemars. Or les cauchemars fréquents finissent par dégoûter les gens du sommeil et provoquent des insomnies car ils craignent d’aller dormir. Ils en souffrent.Que peuvent faire les personnes qui souffrent de cauchemars fréquents ?Déjà, il ne faut pas croire que faire des cauchemars est normal.
Au contraire, si on laisse s’installer des cauchemars fréquents, cela détériore le sommeil, la qualité de vie et cela accentue les risques de développer diverses maladies, à commencer par la dépression.
Autrement dit, le cerveau n’analyse plus ce que l’oeil voit. Le cortex préfrontal est lui aussi sur “pause”. Comme il est responsable du raisonnement et de la logique, ces deux fonctions ne sont que très peu présentes dans les rêves.
Voici le lien pour l »article suivant : https://www.wax-science.fr/guide-utilisateur-pour-commencer-a-interpreter-ses-reves/
Si un individu souffre de stress post-traumatique, le cauchemar se transforme en catharsis : l’évènement est vécu encore et encore pour le comprendre et réussir à s’en libérer. C’est ce que l’on appelle une surcharge de notre système émotionnel. Notre cerveau continue de fonctionner la nuit pour digérer l’intensité émotionnelle des rêves.
Problème, il ne parvient pas à réguler toutes les émotions ce qui mène à des cauchemars.Les cauchemars peuvent aussi être l’expression de dysfonctionnements inconscients comme les angoisses ou les difficultés à gérer une situation. C’est une sorte d’alerte qui indique une anxiété cachée ou refoulée. Si l’on peut croire qu’il n’a aucune utilité, il est primordial pour notre bien-être et notre développement.
« Il s’agit d’un phénomène positif, favorable, que la nature a mis en place pour traiter une information pénible », explique Patrick Lemoine.À découvrir également : Les 6 astuces d’un psy pour apprivoiser ses cauchemarsComment réduire les épisodes de cauchemars ?Avec le même procédé que les rêves lucides, on peut apprendre à contrôler ses cauchemars.
A partir de 3 ans, les rêves servent à enregistrer et réorganiser nos souvenirs et connaissances que nous avons accumulés dans la journée. Plus on vieillit, moins on rêve. Les rêves permettent de développer une vie psychique (mentale) harmonieuse et de construire sa personnalité.
Le rêve fabriqué pendant le sommeil échoue à canaliser et à neutraliser les angoisses du dormeur. Le rêve se transforme en cauchemar.
A noter que, durant un cauchemar, le dormeur n’est plus dans un sommeil profond, mais frôle l’état de veille. Langage du rêve et psychanalyse Les cauchemars ont longtemps été considérés comme des prédictions de catastrophes, avant d’être étudiés par la psychanalyse. Selon la théorie freudienne, les rêves sont l’expression de l’inconscient.
Les cauchemars sont la façon choisie par ce côté obscur d’exprimer une angoisse refoulée ou un désir tellement inacceptable qu’il se camoufle en punition : le contenu immoral de la pensée est alors censuré et remplacé par l’image horrible du cauchemar. Ainsi, entre deux et cinq ans, à l’âge du complexe d’Oedipe, l’enfant cauchemarde fréquemment : le désir symbolique de meurtre du parent de même sexe se réalise, dans le sommeil, à travers des images qui le terrorisent.
L’élément déclencheur du cauchemar Les thèmes des rêves et des cauchemars sont déclenchés par un événement apparemment anodin qui se produit dans les vingt-quatre heures qui précèdent.