Définition des rêves qui s’étiolent?
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La préférence sera donc donnée, non aux œuvres littéraires (poésie, théâtre, roman, philosophie), mais à une littérature populaire et aux ressources de l’ethnologie : traditions orales, usages cultuels, traités d’oniromancie, papyrus magiques, etc. 3L’introduction (p. 19-41) résume les nouvelles tendances des études contemporaines sur la place des femmes dans la polis grecque, appuyées en particulier sur les études « de terrain » sur les sociétés des pays méditerranéens, et en garde contre l’« androcentrisme » qui jusque-là en faussait le sens.
D’où les deux parties du livre, intitulées respectivement Andres (les Hommes) et Gunaikes (les Femmes), chacune comportant trois chapitres.
L’auteur retient les chapitres sur les rêves érotiques (traduits en Annexe), où Artémidore énumère avec le sérieux de l’ethnologue toutes les combinaisons offertes par ces rêves, même les plus scabreuses. Les seules distinctions qu’il marque portent sur les actes qui sont « selon la nature » et ceux qui sont « contre nature ».
colloques et congrès Des essayistes et des enseignants réunis à Cerisy-la-Salle, en juillet dernier, ont tenté de cerner et de définir /’actualité de Nietzsche.
Le professeur Maurice de Gandillac qui présidait le colloque a bien voulu nous autoriser à publier le texte de la communication présentée par Monsieur Edouard Gaède, professeur à l’Université de Nice, dont le sujet nous paraît proche en bien des points du thème général de la créativité qui fait l’objet du numéro présent de /Homme et la Société. Nous l’en remercions vivement. Les Actes du Colloque paraîtront prochainement en volume, dans la collection 10/18.
nietzsche précurseur de freud ? EDOUARD GAEDE A la fin de son essai sur le Malaise dans la civilisation, Freud introduit le concept de « sur-moi culturel ». Il entend par là des figures de fondateurs, d’initiateurs, qui exercent un ascendant décisif sur les esprits et par rapport à qui s’oriente toute pensée. Nietzsche et Freud sont de tels sur-moi culturels pour nous.
(Patrick Froissart, La Mise à nu : Fantaisies en sol mineur, Mon Petit Éditeur, page 43) (Pronominal) Perdre ses couleurs et sa vigueur. Son teint s’étiole, contracte des teintes ou verdâtres ou terreuses, suivant le tempérament de l’individu. ? (Honoré de Balzac, L’Interdiction, 1839) un soleil mauvais teint s’étiole sur les chaises cannées. ? (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 38) (Pronominal) (Figuré) Perdre de la vigueur, diminuer en volume.
Une intelligence qui s’étiole. Un talent qui s’étiole. Les mauvais désirs et les mauvaises pensées, quand il y en a, viennent du dehors; à peine en moi, elles languissent et s’étiolent: je suis un mauvais terrain pour le mal. ? (Sartre, Les Mots, 1964, I) La conversation s’étiolait. ?
[Le compl. d’obj. dir. désigne certains légumes : endive, céleri, etc.] Décolorer, rendre grêle et moins amer par culture à l’abri de l’air, de la lumière. La lumière plus ou moins faible nourrit ou étiole les portions vertes des plantes (Taine, Philos. art,t. 1, 1865, p. 220).? Emploi pronom. passif.
Se décolorer, devenir grêle et moins amer en poussant à l’abri de l’air, de la lumière : … les plantes privées d’air et de lumière, telles que celles qui végètent dans les souterrains, s’étiolent, c’est-à-dire blanchissent.