Elric – tome 04: la cité qui rêve didier poli?
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Préfacé par Jean-Pierre Dionnet, cofondateur de Metal Hurlant et des Humanoïdes Associés (excusez du peu !), ce quatrième tome d’Elric apporte referme un premier cycle somptueux… Scénarisé par Julien Blondel et Jean-Luc Cano, La Cité qui Rêve a pour point d’orgue le mythique sac d’Imrryr, pierre angulaire de la saga d’Elric, empereur frêle et chétif ayant renoncé à son trône et qui deviendra le fossoyeur de son peuple et causera la mort de Cymoril, son seul amour…
Amante jalouse et cruelle, la maléfique Stormbringer se révèle peu à peu, faisant frissonner le lecteur de plaisir et d’horreur… Sublime et tragique, ce final est à la hauteur de nos espérances, même si le dessin semble avoir perdu un peu de sa force et de sa puissance évocatrice avec ce passage de relais… On ne peut qu’espérer qu’un nouveau cycle s’ouvrira bientôt tant cette ambitieuse adaptation de ce monument de l’heroic-fantasy s’avère à hauteur de nos espérance…
Nul ne peut échapper à sa destinée.Troublé par les dernières paroles de l’Empereur Saxif d’Aan, Elric se lance à la recherche des ruines de R’lin K’ren A’a, cité originelle des Melnibonéens, où il espère trouver la preuve que ses ancêtres étaient purs avant d’être pervertis par le Chaos.
Sur place, Arioch confirme les pressentiments de l’empereur déchu, et ses révélations poussent Elric à embrasser sa destinée, telle que jadis prophétisée par Straasha, le Seigneur des Océans : Melniboné doit être détruite de ses mains. L’Île aux Dragons contient en son sein la source d’un mal qui doit être annihilé. Mais dans les entrailles d’Imrryr, sa capitale, Elric doit aussi retrouver Cymoril, sa bien-aimée, qui ne lui a pas pardonné sa fuite…
Le premier cycle de la fabuleuse saga d’Elric, personnage culte de la littérature de fantasy, s’achève avec le quatrième tome de cette adaptation plébiscitée par le public et la critique. Retrouvez une nouvelle fois une préface inédite ainsi qu’en fin d’ouvrage, le making-of de l’album et un cahier bonus exclusivement réservé à la première édition.
4ème tome des aventures du Mélniboréen, la cité qui rêve ne m’aura pas vraiment emballée. J’ai trouvé le rythme du récit inconstant ce qui par moment m’aura laissé une impression d’incohérence. Si le personnage est toujours fidèle à lui-même dans son auto-affliction et sa propre part d’ombre, celui de Cymoril est proprement raté. Cette reine avait pourtant tous les atouts pour porter de véritables traits de méchant très très méchant.
le graphisme néo-gothique dans lequel l’habillent les illustrateurs est réussi. En revanche le scénariste s’est cassé les dents sur la psychologie. J’ai même trouvé la fin pathétique. Cymoril aura finalement succombé au cliché de la femme amoureuse. Je ne pense pas que ce raté soit dû au renouvellement de l’équipe. Les graphismes sont très bons (pour ce que je peux me permettre de juger étant moi-même incapable de dessiner), les expressions corporelles et faciales sont bien travaillées.
C’est vraiment au niveau du scenario que j’ai été déçue.