Elric – tome 4 la cité qui rêve?
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Préfacé par Jean-Pierre Dionnet, cofondateur de Metal Hurlant et des Humanoïdes Associés (excusez du peu !)
Amante jalouse et cruelle, la maléfique Stormbringer se révèle peu à peu, faisant frissonner le lecteur de plaisir et d’horreur… Sublime et tragique, ce final est à la hauteur de nos espérances, même si le dessin semble avoir perdu un peu de sa force et de sa puissance évocatrice avec ce passage de relais…
On ne peut qu’espérer qu’un nouveau cycle s’ouvrira bientôt tant cette ambitieuse adaptation de ce monument de l’heroic-fantasy s’avère à hauteur de nos espérance…
Cymoril aura finalement succombé au cliché de la femme amoureuse. Je ne pense pas que ce raté soit dû au renouvellement de l’équipe. Les graphismes sont très bons (pour ce que je peux me permettre de juger étant moi-même incapable de dessiner), les expressions corporelles et faciales sont bien travaillées. C’est vraiment au niveau du scenario que j’ai été déçue.
Que dire de ce final entre Elric et son cousin, attendu depuis le premier tome de cette série, et qui aura fait l’effet d’une goutte d’eau dans un verre là où j’attendais un tsunami. Même la préface, signée Jean-Pierre Donnet, manque de punch. Alors quoi, on s’ennuie déjà chez Glénat ? J’espère que les tomes suivants, s’il y en a, sauront redonner un peu de vigueur à cette saga.