Elric la cité qui rêve?
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4ème tome des aventures du Mélniboréen, la cité qui rêve ne m’aura pas vraiment emballée. J’ai trouvé le rythme du récit inconstant ce qui par moment m’aura laissé une impression d’incohérence. Si le personnage est toujours fidèle à lui-même dans son auto-affliction et sa propre part d’ombre, celui de Cymoril est proprement raté.
Cette reine avait pourtant tous les atouts pour porter de véritables traits de méchant très très méchant. le graphisme néo-gothique dans lequel l’habillent les illustrateurs est réussi. En revanche le scénariste s’est cassé les dents sur la psychologie. J’ai même trouvé la fin pathétique. Cymoril aura finalement succombé au cliché de la femme amoureuse. Je ne pense pas que ce raté soit dû au renouvellement de l’équipe.
Les graphismes sont très bons (pour ce que je peux me permettre de juger étant moi-même incapable de dessiner), les expressions corporelles et faciales sont bien travaillées. C’est vraiment au niveau du scenario que j’ai été déçue.
Préfacé par Jean-Pierre Dionnet, cofondateur de Metal Hurlant et des Humanoïdes Associés (excusez du peu !)
Amante jalouse et cruelle, la maléfique Stormbringer se révèle peu à peu, faisant frissonner le lecteur de plaisir et d’horreur… Sublime et tragique, ce final est à la hauteur de nos espérances, même si le dessin semble avoir perdu un peu de sa force et de sa puissance évocatrice avec ce passage de relais…
On ne peut qu’espérer qu’un nouveau cycle s’ouvrira bientôt tant cette ambitieuse adaptation de ce monument de l’heroic-fantasy s’avère à hauteur de nos espérance…
Force est de constater que ceux qui ont aimé l’œuvre originale retrouveront ici tous les éléments littéraires qui font de la saga d’Elric un récit passionnant. Oui, il y a tout : la dramaturgie, la complexité du personnage, tantôt brave, tantôt félon. La guerre également et le souffle épique de batailles indescriptibles.
Quelques mois après la trilogie Corum, on se délecte du fait que Delcourt se soit penché sur cet Elric des années 80. Allez-y sans retenue ou, par Arioch, soyez maudits !